Vous souhaitez améliorer votre confort et faire des économies d’Energie ? Pro Couverture 94, spécialiste de l’isolation de combles à Ivry-sur-Seine et de toiture vous propose ses services en aménagement et en isolation de vos combles ainsi que pour tout type de travaux de couverture à Ivry-sur-Seine
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Installation d'isolation de Combles à Ivry-sur-Seine
Vous habitez un foyer avec un ou plusieurs étage ? Vous désirez isoler les combles de votre immeuble, maison ou appartement à Ivry-sur-Seine ? Que vous soyez particulier ou professionnel, propriétaire ou non de votre celui/celle-ci, Pro Couverture 94 exploitera toute son énergie à assurer vos projets d’isolation neuf ou de restauration, où que vous viviez en tant que couvreur à Ivry-sur-Seine. Profitez du professionnalisme de Pro Couverture 94, expert en isolation des combles, pour vous aider lors de vos différents projets d’isolation à travers des offres rentables à long terme.
Quelle importance d’accomplir l’isolation de vos combles à Ivry-sur-Seine ?
Vous Vous hésitez toujours en ce qui concerne l’isolation de vos combles à Ivry-sur-Seine ? Nous sommes en mesure de vous expliquer vraiment pourquoi vous devriez de correctement isoler votre foyer sur Ivry-sur-Seine et ses environs:
Une solution phonique : ce n’est guère plaisant de faire la sieste dans une pièce et d’entendre différents bruits, que ces derniers se forment de l’intérieur ou de l’extérieur. Quand vous prévoyez d’isoler vos combles de manière phonique, vous aurez aucun souci. A cet effet, vous serez confortablement installés dans la pièce entretenue dans vos combles. Il s’agit de ce dont tout le monde désirait.
Il s’agit, à priori, d’un système d’isolation calorique : vous ne le remarquez peut-être, pourtant les combles de votre résidence forment un réel endroit d’air. Et comme vous en souciez, la température peut croitre librement. Quand vous isolez vos combles, que va-t-il se passer ? La température demeurera à l’intérieur de votre logement, ce qui est important pour économiser de l’énergie. Il s’agit aussi d’une solution économique : vous ne le pensez peut-être pas, pourtant vos factures en termes de chauffage seront véritablement réduites. Effectivement, vu que vos combles demeureront vraiment isolées, la chaleur restera sous le toit et donc vous récupérerez plus d’énergie de chauffe. Plus efficace, quand on y pense, non ?
Mais c’est aussi une technique écologique : comme nous l’avions expliqué plus haut, vous faites de l’économie en termes thermique. Vous limiterez donc les GES, ce qui constituera une solution plus que rentable pour l’écologie.
En plus, à l’époque actuelle, il est pratique de faire appel à une société isolation combles Ivry-sur-Seine à tarif moins cher. En revanche lorsque vous ne désirez pas réaliser des interventions, considérez essentiellement à tous les bénéfices que cela peut vous offrir. Nous sommes certains que vous finirez par les isoler convenablement, au moins pour payer une facture de chauffage moins chère !
Quel est le prix pour isoler les combles à Ivry-sur-Seine ?
Lorsque vous procéderez à l’isolation des combles sous toiture à Ivry-sur-Seine, vous serez contraint de payer deux éléments différents : le coût de l’équipement utilisé pour l’isolation de vos combles , et celui de l’intervention. Nous proposons les prix généraux en fonction de le système d’isolation que vous voulez mettre :
Laine de roche : 7€ à 10€ le mètre carré.
Laine de verre : 6€ à 10€ le mètre carré.
Ouate de cellulose : 28€ à 42€ € par mètre carré.
Laine de chanvre : 25€ à 36€ € par mètre carré.
A la suite de cela, il vous sera préférable de rajouter le prix de l’intervention. Cependant, si vous désirez avoir un devis personnalisé, nous vous promettons de vous assister dans cette procédure. Tout compte fait, l’isolation des combles s’avère une opération importante, surtout si vous souhaitez que vos dépenses de chauffage ne deviennent pas trop chères. Précisons aussi qu’il s’agit d’ une activité très écologique, ce qui n’est pas négligeable !
Autres villes d'intervention pour l'isolation des combles
Ivry-sur-Seine (prononcé [i.vʁi.syʁ.sɛn]) est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France. Limitrophe de Paris, la ville fait partie de la Métropole du Grand Paris.
Située sur la rive gauche de la Seine, à environ 5 km du centre de Paris, la commune est amputée à deux reprises au XIX siècle de parties de son territoire, qui sont englobées dans le 13e arrondissement de Paris. Encore moyennement urbanisée au début du XX siècle, la commune connaît une importante croissance démographique pour atteindre plus de 62 000 habitants en 1975. Elle subit ensuite un déclin industriel qui réduit sa population à 50 000 à la fin des années 1990. En 2017, sa population est revenue à un niveau analogue à 1975, ce qui en fait alors la 89e commune la plus peuplée de France, et la 42 commune la plus dense[1]. Ses habitants sont appelés les Ivryens.
L’architecture du centre-ville est dominée par l’emblématique rénovation brutaliste menée par les architectes Jean Renaudie et Renée Gailhoustet dans les années 1970.
Sur le plan politique, la ville est considérée comme un bastion historique du Parti communiste français, dont tous ses maires sont issus depuis 1925. Elle ne connaît que quatre maires, tous issus du parti, depuis 1945 : Georges Marrane, Jacques Laloë, Pierre Gosnat et Philippe Bouyssou, tandis que Maurice Thorez, secrétaire général du parti de 1930 à sa mort en 1964, en a été le député.
Au cours de l’histoire moderne, le territoire communal d’Ivry a été réduit par deux fois. Une première fois lors du déplacement de l’enceinte des Fermiers généraux, en 1818, qui absorbe le « quartier de la Gare » (dit aussi « village d’Austerlitz ») ; la seconde fois lors de l’annexion du nord de la commune, en 1860, pour constituer une partie du 13e arrondissement, après que celle-ci a été amputée d’une partie de son territoire au moment de la construction, entre 1841 et 1844, de l’enceinte de Thiers (ou fortifications).
Aujourd’hui, la commune d’Ivry-sur-Seine est bordée au nord par Paris, à l’est par Charenton-le-Pont et Alfortville, au sud par Vitry-sur-Seine, à l’ouest par Le Kremlin-Bicêtre et Villejuif.
Ses limites géographiques sont la Seine à l’est et au nord, au niveau de la confluence avec la Marne ; au sud, en partie, le glacis du fort d’Ivry ; l’ancienne route nationale 7 à l’ouest ; le boulevard périphérique, au nord.
La commune se situe au cœur du Bassin parisien, unité géologique constituée de roches relativement jeunes, partout recouverte d’alluvions plus ou moins récentes. La Seine en creusant son lit a formé le plateau de Longboyau, Ivry-sur-Seine étant située au nord de ce plateau. La commune s’étend du plateau jusqu’à la vallée de la Seine.
Le sous-sol d’Ivry est constitué de remblais, d’alluvions, d’argile plastique, de fausses glaises, de calcaires et marnes, de sables. Tout le soubassement est constitué de craie campanienne. Les carrières d’Ivry se situent dans le calcaire grossier qui fut exploité jusqu’au début du XXe siècle pour fournir des matériaux de construction dans toute la région. On retrouve du calcaire grossier au nord du territoire communal au niveau du fort d’Ivry, et du sable du lit de la Seine sur la plaine alluviale.
La ville est bordée à l’est par la Seine, dont le régime est relativement régulier. Elle est néanmoins sujette à des crues importantes, dont la dernière remonte à 1956. Depuis la construction en amont de quatre barrages-réservoirs entre 1949 et 1990 le long de la Seine, le nombre de crues petites et moyennes a diminué.
À la suite des fortes intempéries du mois de janvier, la crue de la Seine de 1910, considérée comme une crue centennale, a marqué la ville, obligeant à évacuer 1 172 immeubles. Après avoir été inondée, l’usine de vinaigre Pagès Camus, rue Victor-Hugo, explose du fait de l’explosion des bonbonnes d’acide. Il s’ensuit un incendie qui la détruira totalement. Ivry, qui sera particulièrement sinistrée, fera l’objet de visites de nombreuses personnalités comme Armand Fallières, Aristide Briand, Alexandre Millerand, Louis Lépine[8]. Cependant, les inondations par crue et débordement de la Seine sont des phénomènes lents, et en janvier 1910 la montée des eaux n’a pas dépassé un mètre en 24 heures.
En amont d’Ivry avait été construit, dès 1864, le barrage éclusé de Port-à-l’Anglais, situé sur la rive gauche, côté Vitry-sur-Seine. L’écluse mesure 180 m de long sur 12 m de large. Face à l’augmentation du trafic, une seconde écluse était construite sur la rive d’Alfortville en 1902. Devenues vétustes, les différentes installations du barrage sont reconstruites entre 1971 et 1973, 60 m plus en amont[10].
Le climat d’Ivry-sur-Seine est de type océanique dégradé. La station d’observation la plus utilisée pour la météorologie à Ivry est celle de Paris Montsouris. Le climat dans les départements de la petite couronne parisienne est caractérisé par un ensoleillement et des précipitations assez faibles.
Le tableau suivant donne les moyennes mensuelles de température et de précipitations pour la station de Paris Montsouris recueillies sur la période 1961 – 1990 :
La commune est desservie par plusieurs moyens de transport depuis Paris et les communes voisines.
La commune est également équipée de plusieurs stations Vélib’.
La commune est traversée par les lignes de chemin de fer arrivant à la gare d’Austerlitz, et notamment la ligne de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean.
En 2021, la desserte en transports collectifs en site propre est réalisée par la ligne 7 du métro, la ligne C du RER et la ligne 9 de tramway inaugurée en avril, et dont les tracés sont relativement parallèles sur la commune. Cette desserte est amenée à s’étoffer, à l’aune de plusieurs projets :
Ces deux lignes de transports supplémentaires, parallèles aux deux lignes existantes, compléteront la desserte de la commune en transport en commun.
Pour traverser la Seine et rejoindre des communes voisines, quatre ponts sont situés sur le territoire et sont d’amont en aval :
Ivry-sur-Seine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Elle appartient à l’unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[17] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire regroupe 1 929 communes[20][21].
L’histoire du territoire d’Ivry est intimement liée à la présence du fleuve.
L’Insee découpe la commune en vingt-trois îlots regroupés pour l’information statistique.
Ivry-sur-Seine est organisée en six quartiers :
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 31 595, alors qu’il était de 27 900 en 2014 et de 26 705 en 2009.
Parmi ces logements, 91,3 % étaient des résidences principales, 3 % des résidences secondaires et 5,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 6,4 % d’entre eux des maisons individuelles et pour 87,9 % des appartements.
La ville respoecte les obligations qui lui sont faites par l’article 55 de la loi SRU de 2000. de disposer d’au moins 25 % de logements sociaux par rapport à son parc de résidences principales. Au sens du recensement, elle disposait de 8 235 logements HLM (33,1 %) en 2008, nombre porté à 8 813 (30,6 % en 2019
L’habitat comporte par ailleurs beaucoup de logements insalubres. A Ivry-sur-Seine, plus d’une vingtaine d’arrêtés sont ainsi pris chaque année.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ivry-sur-Seine en 2019 en comparaison avec celle du Val-de-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3 %) supérieure à celle du département (1,8 %) et inférieur à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d’occupation de ces logements, 30,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (27,7 % en 2014), contre 45,1 % pour le Val-de-Marne et 57,5 pour la France entière.
Ce grand projet, initié en 2008 et étalé sur 15 à 20 ans, concerne le quartier Ivry-port, autour de la place Gambetta, entre les voies ferrées de la SNCF et les bords de Seine, au niveau de la confluence avec la Marne (d’où son nom).
Sur environ 145 hectares, soit un cinquième du territoire communal, il est prévu[27] 1 300 000 m de surface à construire dont 50 % d’activités diversifiées 650 000 m2, 40 % de logements (dont 5 % de logements spécifiques), 5 600 logements familiaux (la moitié en logement social) et 10 % d’équipements publics 130 000 m.
Par son ampleur, le projet — la plus grande opération de rénovation urbaine du département — et le nombre d’expropriations prévues ou en cours (environ 400) suscitent de nombreux débats[26]. La crainte de voir un processus de gentrification se développer à l’échelle du quartier inquiète les habitants par l’augmentation du prix foncier ainsi que des phénomènes d’appropriation spatiale par les classes les plus aisées que cela pourrait entraîner,.
Ivry dispose d’un centre d’hébergement d’urgence pour migrants (CHUM), sur le site d’une ancienne usine d’Eau de Paris, exclave parisienne en territoire ivryen. Ce centre, d’une capacité de 350 personnes, permet une bonne intégration des personnes accueillies dans le quartier, d’après la géographe Clélia Gasquet-Blanchard.
Dans le nom d’Ivry-sur-Seine, « Ivry » provient du gaulois « Eburiacum », signifiant « lieu des ifs » ; « sur-Seine » notifie le fait que la Seine borde le flanc est de la ville.
Les premiers vestiges attestant l’occupation humaine sur le territoire d’Ivry-sur-Seine datent de 4 000 ans. Des vestiges de maisons traditionnelles en bois ont été découverts en 2017 et en 2020 dans deux sites du quartier Confluences, faisant de cette zone l’une des plus intéressantes de l’archéologie de l’âge du bronze ancien (vers -2200 avant le présent) en région parisienne.
En 52 av. J.-C., Ivry est le théâtre de combats opposant les troupes de Camulogène, chef de l’armée des Parisii et celles de Labiénus, lieutenant de Jules César qui remporte la victoire.
Au VI siècle, d’après une légende hagiographique, saint Frambourg, un ermite, se réfugie dans une grotte naturelle d’Ivry : une fontaine aurait miraculeusement caché le saint, et l’endroit serait bientôt devenu un lieu de culte. À sa mort, une chapelle lui est consacrée. Détruite pendant les guerres, elle est rebâtie en 1665 et abrite jusqu’au règne de Louis-Philippe les reliques du saint, objets d’un pèlerinage très suivi. Autour du lieu, Saint-Frambourg devient un hameau de la paroisse d’Ivry-sur-Seine.
Au IX siècle, la terre d’Ivry est propriété de la seigneurie du chapitre de Notre-Dame-de-Paris[33].
En 936, une charte de Louis IV de France mentionne pour la première fois le nom d’Ivriacum, archétype d’origine celtique Ebur-i-acum signifiant « le lieu des ifs » ou « la propriété d’Éburius ».
La nouvelle église paroissiale Saint-Pierre-Saint-Paul est commencée au XII siècle (clocher carré et travée du XIIIe siècle) ; un des piliers porte la date de 1575. Au Petit-Ivry se trouve une église des XIII et XVIe siècles.
Sur un plan des années 1550, l’église est présente et la commune porte alors le nom Iveri.
Progressivement, du XIII au XVIIe siècle, l’unité du domaine se morcèle par les acquisitions successives de plusieurs seigneurs. Les nombreuses seigneuries ecclésiastiques dont les abbayes de Saint-Magloire, de Saint-Victor, le prieuré Saint-Martin-des-Champs et quelques fiefs laïcs sont progressivement rachetés, de telle sorte qu’en 1659 la terre d’Ivry appartient en totalité à un unique seigneur laïc, Philippe de Loynes.
Cette terre est achetée au XVII siècle par Claude Bosc du Bois, conseiller au Parlement de Paris, qui la transmet à son fils, qui y bâtit un superbe château. À la mort de celui-ci, elle passe à Antoine Chaumont marquis de la Galaizière. Le , Ivry est adjugé pour 1 290 000 livres au maréchal d’Uxelles, puis à Henri-Camille, marquis de Béringhen. La Révolution détruit une grande partie du château (quelques éléments demeurent aujourd’hui encore à proximité de la place Parmentier).
C’est également de la seconde moitié du XVII siècle que date le moulin de la Tour[35].
Au début du XVIII siècle, le territoire à nouveau unifié est détenu par le seigneur du moulin de la Tour. Il devient un lieu de villégiature prisé de l’aristocratie et de la bourgeoisie parisiennes. On note ainsi la présence, dans l’une des plus belles résidences d’Ivry, de l’architecte Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne (1711-1778), petit-fils de Jules Hardouin-Mansart. La maison devient au XIXe siècle, l’école professionnelle de Pierre-Philibert Pompée tandis qu’une autre partie est allouée en 1871 par la commune d’Ivry, créée en 1789, qui l’acquiert en 1879. Elle est la mairie de la ville jusqu’à l’inauguration de la mairie actuelle en 1896 (l’ancienne mairie est détruite en 1945).
Succédant à celle de la rue Buffon à Paris, la maison de santé Esquirol est fondée en 1827 ou 1828 par l’aliéniste Esquirol au 7, rue de Seine, aujourd’hui rue Lénine. En 1847, Gaetano Donizetti (1797-1848) y séjourne, « mélancolique », treize mois avant son retour à Bergame. Auparavant, le physicien Sadi Carnot (1796-1832) y est vraisemblablement mort. Le poète Maurice Rollinat, le peintre Maurice Utrillo, la fille de l’écrivain James Joyce, Lucia, l’écrivain et poète Antonin Artaud y ont été également soignés[37].
Un hospice des Incurables est édifié à Ivry sous le second Empire. Le bâtiment est construit sous la direction de l’architecte Théodore Labrouste au cours des années 1864 à 1869, sur des terrains, acquis en 1851 par la direction de l’Assistance publique, qui formaient auparavant le parc du château de Claude Bosc. L’hospice est destiné aux 2 500 pensionnaires venant du couvent des Récollets ou de l’hospice de la rue de Sèvres. Il est inauguré en 1873 par Mac-Mahon. Devenu l’hospice d’Ivry, il sera, en 1976, rebaptisé hôpital Charles-Foix en mémoire du neurologue qui en fut chef de service[39].
Au cours du XIX siècle, la commune est amputée en deux temps : d’abord du village d’Austerlitz réuni à Paris par ordonnance royale du à la suite du déplacement du mur des Fermiers généraux, puis d’une frange nord-ouest, en 1860, à la suite de la création du 13e arrondissement de Paris et de la construction de l’enceinte de Thiers (les « fortifs »). Lorsque celles-ci sont abandonnées va s’installer à la place ce que l’on nommera « la Zone ».
Le fort d’Ivry est construit de 1841 à 1846 (sous le règne de Louis-Philippe). D’une superficie intérieure de 0,10 km2, il est bâti à l’extrémité du plateau d’Ivry et forme un éperon entre les vallées de la Bièvre et de la Seine. Il a été modifié après la guerre de 1870 afin de défendre Paris. Le fort appartient aujourd’hui au ministère de la Défense et abrite l’Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (ECPAD).
La commune prend son nom actuel d’Ivry-sur-Seine en 1897.
La ville est particulièrement touchée par les inondations de 1910.
Le Parti communiste français devient la principale force politique de la ville dès 1920. Georges Marrane en est sur une longue période le député-maire à la suite de Maurice Thorez. Ivry fait partie de la ceinture rouge entourant Paris.
En 1944, les francs-tireurs et partisans (FTP) envahissent les entrepôts d’Ivry de la société Sainrapt et Brice, désignée comme un modèle de collaboration économique. En effet, sous l’occupation, l’entreprise a activement participé à la construction du mur de l’Atlantique.
Antérieurement à la loi du , la commune faisait partie du département de la Seine. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-de-Marne et à son arrondissement de Créteil, après un transfert administratif effectif au .
Pour l’élection des députés, Ivry-sur-Seine fait partie de la dixième circonscription du Val-de-Marne, une des onze circonscriptions législatives françaises que compte le département.
Elle faisait partie de 1793 à 1893 du canton de Villejuif, année où elle devient le chef-lieu du canton d’Ivry-sur-Seine du département dela Seine. Lors de la mise en place du Val-de-Marne, Ivry-sur-Seine est divisée en deux cantons, le canton d’Ivry-sur-Seine-Est et le canton d’Ivry-sur-Seine-Ouest. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ces deux cantons sont supprimés et la ville devient le bureau centralisateur du canton d’Ivry-sur-Seine.
La ville faisait partie de l’association Seine-Amont développement depuis sa création en 2001 jusqu’à sa dissolution en 2014, aux côtés des communes d’Alfortville, Vitry-sur-Seine, Choisy-le-Roi et Orly.
La ville intègre en 2013 la communauté d’agglomération Seine Amont (CASA) aux côtés des communes de Vitry-sur-Seine et d’Ivry-sur-Seine, cette intercommunalité regroupant ainsi plus de 170 000 habitants.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l’agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[47].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015 prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d’ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).
La commune a donc également été intégrée le à l’établissement public territorial Grand-Orly Seine Bièvre, qui succède notamment à la communauté d’agglomération Seine Amont[48].
Politiquement, Ivry-sur-Seine est un fief historique du parti communiste français. Maurice Thorez est député de la circonscription durant 32 ans, de 1932 à sa mort, et le Parti détient la mairie depuis les années 1920. En 1929, le parti fait élire sur la liste menée par Georges Marrane une femme, Marie Lefèvre, pour protester contre l’interdiction faite aux femmes de participer à la vie politique. L’élection de celle-ci sera finalement cassée par la préfecture[50].
La ville est d’ailleurs marquée par une stabilité politique certaine : seuls cinq maires, dont un très brièvement, se sont succédé depuis 1925, respectivement Georges Marrane de 1925 à 1940 puis de 1945 à 1965, Venise Gosnat en 1944-1945, Jacques Laloë de 1965 à 1998, Pierre Gosnat à partir de 1998, réélu en 2008 et 2014, et, depuis 2015 (à la suite de la mort de Pierre Gosnat), Philippe Bouyssou.
Lors des élections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne, la liste menée par le maire sortant, Philippe Bouyssou (PCF) arrive en tête du premier tour avec 48,65 % des suffrages exprimés, devant celle menée par Sabrina Sebaihi (Europe Écologie-Les Verts) avec 22,1% des suffrages exprimés, Sébastien Bouillaud (Divers droite), 13,7%, celle de Rachida Kaaout (LREM) 12,22%, celle de Brenda Labat (Extrême gauche), 1,93% des suffrages exprimés et celle de Gisèle Pernin (Lutte Ouvrière) 1,37% des suffrages exprimés, lors d’un scrutin marqué par 58.92 % d’abstention.
Entre le Congrès de Tours de 1924 et nos jours, la ville n’a connu que cinq maires, tous communistes, si ce n’est la période de la Seconde Guerre mondiale, où une délégation spéciale a été mise en place par le gouvernement de l’époque,.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d’une enquête par sondage auprès d’un échantillon d’adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans,.
En 2020, la commune comptait 64 016 habitants, en augmentation de 7,06 % par rapport à 2014 (Val-de-Marne : +3,15 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ainsi que deux écoles privées.
Près de 15 établissements d’enseignement supérieur et de recherche sont installés sur le territoire communal. Ils dispensent des formations principalement scientifiques (aéronautique, informatique) avec plusieurs écoles d’ingénieurs, artistiques (photographie, arts graphiques) ou médicales (chiropratique).
L’UNSA Éducation (nom pris par la FEN en décembre 2000) a son siège à Ivry.
Tous les ans depuis , les ateliers d’artistes d’Ivry ouvrent leurs portes pour trois jours de manifestations : expositions, concerts, démonstrations, visites guidées… En 2014, ils participent à la Nuit blanche, en association avec Paris.
Ivry dispose de l’hôpital Charles-Foix, qui appartient au secteur public hospitalier (AP-HP), et qui est spécialisé en gériatrie.
Un centre de santé municipal, créé au conseil municipal de 1899[79], est aujourd’hui un lieu important de soins ambulatoires. Des travaux d’extension sont en cours en 2018.
La commune d’Ivry-sur-Seine édite un journal mensuel (11 numéros par an), Ivry ma ville.
Depuis 2006 la commune a été récompensée chaque année par le label « Ville Internet @@@@@ ».
Le sport vedette à Ivry est le handball. L’US Ivry handball, fondé en 1947, évolue en championnat de France de 1 division. Les « rouges et noirs » furent[réf. nécessaire] huit fois champions de France chez les hommes et neuf fois chez les femmes. C’est la section la plus célèbre des trente-six qui composent l’US Ivry omnisports.
L’équipe de football de l’US Ivry évolue, quant à elle, en National 3.
Ivry dispose de plusieurs lieux de cultes catholiques, adventiste, évangélique, israélite et musulman.
Le doyenné d’Ivry-sur-Seine, rattaché au diocèse de Créteil, regroupe quatre paroisses (Saint-Pierre-Saint-Paul, Sainte-Croix d’Ivry-Port, Saint-Jean-Baptiste-du-Plateau et Notre-Dame-de-l’Espérance). À ces quatre églises s’ajoute la chapelle Notre-Dame de l’Annonciation de l’hôpital Charles-Foix.
Une église adventiste du septième jour regroupant la communauté adventiste serbo-croate est située rue Christophe-Colomb.
Une synagogue est située avenue Danielle-Casanova, ainsi qu’un Centre d’accueil universel de l’Église évangélique.
Une salle de prière pour le culte musulman est implantée rue Jean-Jacques-Rousseau.
Sur le territoire de la commune d’Ivry se trouvent deux cimetières communaux : le cimetière ancien, rue Bernard-Palissy (derrière l’église Saint-Pierre-Saint-Paul) et le cimetière nouveau, rue Gaston-Monmousseau — ainsi que le cimetière parisien d’Ivry (géré par la ville de Paris), avenue de Verdun.
En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 26 227 €, ce qui plaçait Ivry-sur-Seine au 22 731 rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[85].
En 2009, 52,3 % des foyers fiscaux étaient imposables.
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s’élevait à 39 629 personnes, parmi lesquelles on comptait 73,8 % d’actifs dont 62,7 % ayant un emploi et 11,1 % de chômeurs.
On comptait 34 270 emplois dans la zone d’emploi, contre 25 895 en 1999. Le nombre d’actifs ayant un emploi résidant dans la zone d’emploi étant de 25 099, l’indicateur de concentration d’emploi est de 136,5 %, ce qui signifie que la zone d’emploi offre 1,4 emploi par habitant actif[Insee 3].
Au 31 décembre 2010, Ivry-sur-Seine comptait 4 632 établissements : 2 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 227 dans l’industrie, 493 dans la construction, 3 496 dans le commerce-transports-services divers et 414 relatifs au secteur administratif.
En 2011, 613 entreprises ont été créées à Ivry-sur-Seine, dont 334 par des autoentrepreneurs[Insee 6].
Après avoir connu une désindustrialisation importante dans les années 1980-1990, la ville voit un retour de l’emploi grâce, notamment, à l’implantation sur son territoire des sièges sociaux d’entreprises de distribution (E.Leclerc, Fnac).
De 1926 à 2012, dans le quartier Ivry-port, ont été implantés les entrepôts du BHV, situés boulevard National (actuel boulevard Paul-Vaillant-Couturier).
En bord de Seine sont installés le centre commercial Quais d’Ivry, le siège de la centrale d’achat du groupe E.Leclerc, un magasin Truffaut et un magasin Leroy Merlin, ainsi qu’un multiplexe Pathé. Quai Marcel-Boyer se trouve le siège social de la Fnac.
Ouvert en , le centre commercial fut totalement rénové au milieu des années 1990 mais souffrait toujours de la trop forte concurrence de Créteil Soleil et de Bercy 2. Aussi a-t-il subi une nouvelle rénovation qui s’est achevée en . Rebaptisé Quais d’Ivry[88], le centre s’articule autour de l’hypermarché Carrefour, qui occupe 15 222 m2, ainsi que d’environ 80 enseignes installées sur 60 000 m.
Depuis la fin des années 2010, beaucoup d’enseignes ont fermé, soit pour s’installer dans le 13 arrondissement de Paris (Darty), soit faute de clientèle en nombre suffisant.
L’industrialisation du territoire d’Ivry débute en 1835.
Depuis , le ministère de l’Économie, des Finances, du Budget et du Redressement productif occupe plusieurs immeubles au 27, rue Barbès. À terme, ce sont 1 200 agents qui occuperont le site ivryen du ministère. La moitié de cet effectif travaille sur les questions d’industrie et de compétitivité, l’autre sur des activités douanières[103].
Trouver un bon spécialiste n’est pas aussi facile qu’il paraît, étant donné que les non-spécialistes et les faux artisans couvreurs se trouvent un peu partout.
Le couvreur étant un artisan connu durant des années. Une entreprise de couverture dans le 94 est souvent appelé que cela concerne une récente construction,
Des fois, on peut oublier de maintenir de façon régulière la toiture du logement. Pourtant, ceci est en effet absolument nécessaire. Notez bien qu’à n’importe
Notre équipe peut intervenir en tout lieu pour assurer la mise en place de toiture, l’entretien ou bien la remise à neuf, le nettoyage, l’installation de canalisation, l’isolation de vos combles ou bien alors l’installation de volet dans la ville de Ivry-sur-Seine et partout au alentour. Vous pouvez nous faire appel en cas de problème. Nous ferons un plaisir de vous guider en tant que couvreur professionnel dans la ville de Ivry-sur-Seine.
Les points faibles de son logement permettra de connaitre les travaux à effectuer. En principe, le mot « isolation » fait tout de suite penser aux murs. Cependant le 1er point faible est la toiture couverture. Elle est à l’origine de 30 % des pertes énergiques : Le revêtement de toiture est une large surface de contact entre la partie interne et la partie externe. La couverture est exposée au vent. L’énergie thermique de la pièce monte et s’accumule ainsi sous les couvertures. Il existe plusieurs origines de déperditions dues aux toitures : Défaillance d’isolation de la dernière surface plafond, manque d’isolation des sous-pentes du revêtement et également des combles, échappements d’air, entre les tuiles et sur les joints de la charpente avec le mur. Ainsi, dans une habitation mal isolée, la toiture devrait être prioritaire. Une meilleure isolation = économie énergétique.
Trouver un bon spécialiste n’est pas aussi facile qu’il paraît, étant donné que les non-spécialistes et les faux artisans couvreurs se trouvent un peu partout.
Le couvreur étant un artisan connu durant des années. Une entreprise de couverture dans le 94 est souvent appelé que cela concerne une récente construction,
Des fois, on peut oublier de maintenir de façon régulière la toiture du logement. Pourtant, ceci est en effet absolument nécessaire. Notez bien qu’à n’importe
La toiture de votre maison étant fortement exposée au vent, à la température, à l’humidité, aux altérations, au réchauffement, aux végétaux, et à l’ensoleillement. Et
Si vous désirez installer une nouvelle couverture ou sinon faire des missions de dépannage, il convient de miser sur les compétences d’un artisan couvreur spécialiste,