Nettoyage et démoussage de toiture à Maisons-Alfort (94700)

Vous souhaitez éliminer les mousses, lichens et champignons de votre toiture ? Pro Couverture 94est spécialisé dans le nettoyage de toiture à Maisons-Alfort et le traitement de surface sans altération. Nous utilisons des solution de nettoyage respectueuse de l’environnement. N’hésitez pas à nous poser vos questions sur le nettoyage de toiture si vous en avez.

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Nettoyage & Démoussage de Toiture à Maisons-Alfort, 94700

Le nettoyage de la toiture à Maisons-Alfort est une intervention important. C’est un moyen de préserver le confort intérieur, mais sûrement et également les pièces qui composent le toit. A l’aide d’une équipe compétente dans le métier, Pro Couverture 94 réalise les services de nettoyage de toiture et vos travaux de couvreur à Maisons-Alfort ainsi que dans le département des Val-de-Marne. Ainsi, si vous habitez aux alentours, vous pouvez jouir du déplacement non payant de nos agents. En tant que couvreur à Maisons-Alfort, nous effectuons ainsi des services de bonne qualité quel que soit le modèle de votre toiture.

nettoyage toiture Maisons-Alfort 94700

La raison pour laquelle le service de nettoyage de toiture à Maisons-Alfort est nécéssaire ?

L’entretien de toiture est indispensable vu qu’en une année, les lichens, les mousses et les algues pourront s’amasser sur votre bâtiment et ce n’est pas très esthétique. En outre, ces plantes parasitaires risquent de ternir à la performance de votre toit en causant des infiltrations d’eau ou des failles de toit. N’oubliez pas que le nettoyage des toitures à Maisons-Alfort devra être réalisé tous les ans, peu importe votre type de couverture de toiture. Dans le cas où vous possédez des tuiles comme matériau de revêtement, l’idéal est de les démousser à une fréquence de deux fois en une année.

Le Produit anti-mousse de toiture

Aussitôt que les mousses ainsi que les autres végétaux parasites ont pris place sur votre toiture, ceux-ci peuvent ternir à la performance de votre édifice. Dans le cas où vous n’effectuez pas les travaux convenables, votre toit pourrait rencontrer des soucis d’intrusion d’eau ou alors de défaut de toiture, entre autres. Lorsque nous faisons le démoussage des toits à Maisons-Alfort (94700), nous faisons une solution anti-mousse de la toiture. Cette pratique consiste à appliquer un traitement fongicide ou bien algicide sur le toit afin que les mousses soient complètement et directement exterminées. Rappelez-vous que le démoussage de toiture doit être accompli toutes les cinq années. Cela s’accomplit grâce à de différents produits

  • Le produit anti-mousse : suite à un bon nettoyage de votre toit, la solution anti-mousse va permettre d’éviter la réapparition des herbes gênantes. Il y a deux variétés de produit : ceux qui se font par un rinçage et puis ceux qui ne requièrent pas de rinçage.
  • Le traitement hydrofuge : il s’agit d’un traitement anti-humidité, qui aide à lutter de manière efficace contre les intrusions d’eau.
  • La mise en place d’un filtre cuivre : ce dispositif s’oxydera en milieu aqueux, ce qui va permettre d’éradiquer complètement la mousse.

Le nettoyage et le démoussage de vos tuiles à Maisons-Alfort sous la responsabilité d’un expert

démoussage de toiture Maisons-Alfort


Vous avez une couverture en tuiles ? Ce matériau est extrêmement sensible à l’invasion des mousses, des algues et des lichens. Si vous désirez avoir une belle couverture durant toute l’année, le nettoyage et le démoussage de toits devraient être effectué deux fois en une année. Nous accomplirons les travaux à l’aide d’un pulvérisateur, d’un nettoyeur à pression, par exemple. Nous connaissons le produit approprié à ce type de revêtement. Pour avoir un résultat nickel, évitez de nettoyer vous-mêmes vos toits. Faites plutôt appel à un agent couvreur expert à Maisons-Alfort tel que Pro Couverture 94 ?

Comment se passe l’opération de démoussage et de nettoyage d’une toiture à Maisons-Alfort?

 

  1. Premièrement : le service de nettoyage manuel des mousses et débris sur la couverture.
  2. Deuxièmement, le suivi de l’impénétrabilité de la couverture : gouttières, solins, faîtages, tuyaux d’écoulement, jointures en zinc …
  3. Et enfin l’usage d’un traitement préventif qui sert à retarder la présence des mousses.

 

Donc, que ce soit pour le démoussage de vos toits ou bien pour le entretien de vos toitures, nos équipes de spécialistes pourront effectuer les projets d’étanchéité tels que la finition résine par injection ou bien la finition par injection hydrofugée .
Nous pouvons également réaliser les revêtements étanches en couleur.

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À propos de Maisons-Alfort

Maisons-Alfort est une commune française du Val-de-Marne, en Île-de-France. Elle se situe dans la banlieue sud-est de Paris, à trois kilomètres de la capitale, sur la rive sud de la Marne.

Son positionnement lui permet un accès rapide à plusieurs axes majeurs de communications franciliens que sont l’A4 au nord ou l’A86 au sud. Sa population actuelle en fait la sixième ville la plus importante du département derrière Vitry-sur-Seine, Créteil, Champigny-sur-Marne, Saint-Maur-des-Fossés et Ivry-sur-Seine. Ses habitants sont appelés les Maisonnais.

Autrefois plus étendue, elle perdit partie de son territoire quand la commune d’Alfortville fut créée en 1885. Maisons-Alfort est l’une des 47 communes du Val-de-Marne, dont le chef-lieu est Créteil.

Elle a la forme d’un triangle :

Maisons-Alfort est entourée des six communes suivantes en commençant au nord et en tournant dans le sens des aiguilles d’un montre : Charenton-le-Pont, Saint-Maurice, Joinville-le-Pont, Saint-Maur, Créteil et Alfortville.

Maisons-Alfort est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. Elle appartient à l’unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[5] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.

Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire regroupe 1 929 communes[8][9].

La Ville ne respecte pas le rythme et l’objectif de la loi SRU (votée en 2000), atteindre 25% de logements sociaux/HLM (de tous types, y compris logements étudiants ou maisons de retraite abordables) elle doit payer des amendes à l’Etat (https://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/logements-sociaux-13-communes-a-l-amende-dans-le-val-de-marne-12-04-2018-7660695.php).

En 1312, il est fait mention d’un bâtiment que l’on nommait hôtel d’Harrefort ; il relevait de l’abbé de Saint-Maur. Sur un titre de l’an 1495, il est question de Jean de Harcourt, comte de Vaudémont – il semble bien que Harcourt et Harrefort ne devaient faire qu’un. Plus tard, en 1612, on trouve le château d’Hallefort. M. Mallet de la Cour des comptes, en était possesseur. Plus tard, on peut encore lire :

En 1765, Jean-Louis de L’Héraud ou Lhéreau, seigneur de la baronnie de Bormes, vendit cette propriété pour qu’y soit fondée l’École Vétérinaire par Claude Bourgelat. La ferme de Maisonville restée en dehors de l’opération, comprenait, outre les bâtiments d’exploitation, 500 arpents de terres et prés.

Charentonneau semble être d’origine aussi ancienne que le village de Maisons. C’est parfois Charentonnellum, Carentoniolo, ou Charentonnet que l’on rencontre.

Il est vaguement question en 1240 et 1246 de Charentonnellum. En 1281, l’abbé de Saint-Maur était propriétaire du moulin de Charentonneau, auquel les hommes de Maisons étaient banniers. Le , le roi Charles V acheta à Nicolas Braque, son maître d’hôtel, « la maison qu’il avait à Charentonnel près du pont de Charenton, et ses dépendances » pour 3 200 livres d’or. Il la donna à Philippe de Mézières, chancelier de Chypre. Cette charte est datée de Beauté-sur-Marne, 1377. À cette époque, le pont de Charenton est parfois désigné sous le nom de pont de Charentonneau. En 1444, à Nicolas Duru, huissier au Parlement, achète le fief de Charentonneau avec mention d’un manoir près du pont. En 1641, M. de Falcony devient possesseur des domaines de Charentonneau, d’Alfort et de la ferme de Maison Ville. Par la suite, René Gaillard, propriétaire du château voisin, en fait l’acquisition en 1671. Le domaine est saisi et vendu comme bien national sous la Révolution et remanié à la fin du XVIIIe siècle. Il est acquis le par le baron Rodier Saliège et revendu à Charles-François Grimoult en 1832. Le domaine passe ensuite à ses descendants Delalain, Jouët et Jouët-Pastré puis partagé en lotissement à la fin du XIXe siècle. Le château est mentionné au XVII siècle sur une gravure d’Albert Flamen datée de 1646 et au XVIIIe siècle par Piganiol de La Force. Il fut détruit à la fin des années 1950 et il ne subsiste actuellement que deux murs de l’orangerie. Le château, alors encore debout, et la cité de Château-Gaillard, alors en construction, furent en 1958, le cadre du tournage de quelques scènes au début du film Archimède le clochard, avec Jean Gabin. On aperçoit brièvement le château dans ce film.

Le château de Reghat a été construit au XVIII siècle, c’est l’une des demeures les plus anciennes de Maisons-Alfort[12]. Il a été utilisé comme rendez-vous de chasse de Louis XV et a servi de lieu de séjour pour la Marquise de Pompadour. Ses façades sur jardin et ses toitures sont inscrites depuis 1979 à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. À partir de 1872, il est devenu la propriété de la société de fabrique de levures fondée par le baron Max von Springer, devenue depuis Bio-Springer (groupe Lesaffre).

Dans le cadre d’un mécénat de Bio-Springer, le château abrite depuis 2003 le Musée de Maisons-Alfort.

(en faisant le tour de la ville, dans le sens des aiguilles d’une montre, en partant du nord)

Ce n’est qu’à partir de 1880 que l’on construisit les premières maisons que l’on peut assimiler à nos lotissements actuels. Au milieu du XX siècle, seuls ces deux derniers quartiers étaient urbanisés. Le reste du territoire de la commune était occupé par des terrains maraîchers.

La Ville est traversée par l’ancienne route nationale 6, qui contourne le centre-ville, et l’ancienne route nationale 19, ainsi que par l’autoroute A86.

Elle est desservie au nord par l’autoroute A4 (qui passe de l’autre côté de la Marne, sur la commune de Charenton-le-Pont).

Les deux anciennes routes nationales partent du carrefour de la Résistance, situé à l’entrée nord-ouest de la ville en venant du pont de Charenton.

Durant sa traversée de Maisons-Alfort, la RD 6 (ex-RN 6), prend successivement les noms d’avenue du Général-de-Gaulle, puis avenue du Professeur-Cadiot, puis avenue Léon-Blum, puis rue Jean-Jaurès. Elle est orientée vers le sud le long de la voie de chemin de fer sur la plus grande partie de son tracé, mais elle s’en écarte provisoirement pour contourner la partie du centre-ville où se situe la mairie. Dans le passé, cependant, la route principale, correspondant globalement à l’actuelle départementale, pénétrait dans le centre-ville (partie sud de l’avenue du Général-de-Gaulle) et se dirigeait directement sur l’église Saint-Rémi, ce qui est un signe de l’ancienneté du tracé (sans doute une voie romaine).

La RD 19 (ex-RN 19), sous le nom d’avenue du Général-Leclerc, est orientée transversalement vers le sud-est en coupant la ville en deux parties. La partie au nord-est de la RN 19 est surtout résidentielle avec des quartiers pavillonnaires et les bords de Marne, tandis que la partie au sud-ouest abrite la plus grande part des équipements urbains (École vétérinaire, Fort de Charenton, mairie, cimetière, terrains de sport, établissements d’enseignement supérieur, usines Bio-Springer et Aventis, grands ensembles d’habitation, voie ferrée).

Maisons-Alfort bénéficie d’une situation géographique favorable à l’usage du vélo avec la proximité immédiate des quais de la Marne, aménagés à Saint-Maurice en véloroute de Joinville-le-Pont à Paris. Des pistes cyclables séparées du trafic motorisé sont aménagées le long des deux principaux axes de circulation en direction de Paris, la RD19 et la RD6, toutefois ce n’est pas le cas du principal axe traversant la ville de l’ouest au nord-est, l’avenue de la République.

En 2018, l’extension du SAVM Vélib aux communes de la Métropole du Grand Paris permet à la Ville d’y adhérer. Sept stations Vélib’ sont implantées à Maisons-Alfort :

En 2019, le Collectif Vélo Île-de-France présente un projet de réseau cyclable structurant à l’échelle de la région Île-de-France, le RER V. Construit par les militants associatifs, il intègre la RD19 (avenue du Général Leclerc) dans la « ligne » D, reliant Paris à Tournan-en-Brie. En 2020, la Région Île-de-France adopte le projet de RER V et définit les axes à aménager prioritairement. La ligne Paris-Tournan devient la ligne E et est programmée pour la première phase de l’aménagement du réseau, à partir de 2025.

Depuis 2017, la Fédération des Usagers de la Bicyclette organise tous les deux ans une enquête en ligne afin de connaître le ressenti des cyclistes sur les communes où ils circulent. Les répondants sont invités à répondre à une cinquantaine de questions et à noter, sur une échelle de allant de 1 à 6, différents aspects des conditions de circulation, de stationnement, d’efforts de leur collectivité menés depuis la précédente édition pour améliorer la place du vélo.

L’origine du nom de la ville serait lié au fait que les premiers habitants se seraient installés à la confluence de la Marne et de la Seine et qu’au fil du temps, le bourg aurait pris l’appellation de « les Maisons ». Il est possible qu’il s’agissait à l’origine d’une mansio, c’est-à-dire un lieu de repos le long de la voie romaine. Le site des Mansiones est mentionné dès l’an mil ; il a alors déjà pris de l’importance et s’est doté d’une église paroissiale.

La deuxième partie du nom apparaît au XIV siècle sous la forme de Hareford ou Harefort[19] ; elle vient d’un hameau de la commune qui à l’origine (au XII siècle) était un domaine de Pierre d’Aigueblanche, seigneur d’Herefort – francisation de Hereford (Angleterre), où le savoyard Pierre d’Aigueblanche a été intronisé en 1240 Bishop of Hereford, c’est-à-dire évêque d’Hereford. Le temps passant, le nom évolua en Hallefort (attesté en 1612) et enfin Alfort à partir du XVIIIe siècle.

Dès la fin du XVII siècle, Maisons et son hameau Alfort ont été assemblés sous la désignation Maisons-Alfort[19].

Les fouilles archéologiques réalisées à Maisons-Alfort en 1994 ont livré les vestiges d’une occupation préhistorique, néolithique et protohistorique, datée entre 200 000 et 160 000 ans. Sur les rives de la Marne on retrouve des restes d’une sépulture, un mégalithe, quelques vestiges plus à l’est et quelques outils. Dans les années 1990, lors de fouilles près du pont de Charenton, un important habitat néolithique, avec une sépulture, a été exhumé par le LDA (Laboratoire Départemental d’Archéologie 94) puis par l’AFAN (Association pour les fouilles archéologiques nationales). Ces vestiges archéologiques ont donné des indices importants et inédits sur le mode de vie de l’Homme de Néandertal dans le Bassin parisien.

Lors de la construction du fort de Charenton au XIX siècle, on fit la découverte d’une structure en bordure d’un ancien chemin, probablement identifiable à un tumulus, relief visible appelé « Butte de Grammont ». On y découvrit plusieurs sépultures dont certaines présentent un certain apparat. Elles sont datables de la Tène ou de l’époque romaine[21].

Dès 988, on trouve mention au sein d’une charte, de l’expression d’un village dénommé Mansiones ou encore Maisons. Cette charte énonce la donation des terres de Maisons-Alfort de Hugues Capet vers l’abbaye de Saint-Maur-des-Fossés. À la suite de quoi, quatre ans après ce don en 992, le pape Jean XV fonde la cure de Maisons appelée église « ecclesium Mansionibus ».

Par sept chartes successives des années 1262, 1269, 1287, 1291, 1301, 1324 et 1325, les abbés de Saint-Maur « affranchirent de toutes servitudes 143 chefs de ménage et leur postérité née et à naître (…) ». En comptant cinq personnes par ménages, la population est alors estimée à 715 habitants. Cette estimation ne prenant pas en compte les seigneurs, le curé et les serfs qui n’ont pas été affranchis, si toutefois il en reste. Cependant, s’agissant de ce recensement, on ignore s’il n’est question que des serfs de Maisons. En effet, il est plausible que ceux de Créteil, qui appartenaient également aux abbés de Saint-Maur, soient, eux aussi, compris au sein du comptage de la population. Ainsi au vu de ces données, on peut raisonnablement avancer un total approximatif d’environ 800 personnes, soit environ 400 pour Maisons, ce qui semble vraisemblable d’après les informations que l’on dispose et de par la comparaison que l’on puisse faire avec d’autres hameaux de taille comparable contemporains à cette période.

Par cet écrit : « (…) cependant, par une charte du samedi avant la Chandeleur, en 1295, l’abbé de Saint-Maur amortit à la confrairie lesdits deux quartiers de vigne (…) ». On apprend que du vin y est produit, ce qui constitue un témoignage des aspects économiques et sociaux de Maisons-Alfort durant le Moyen Âge.

En 1358, lors de la guerre de Cent Ans, les Anglais et Charles de Navarre prennent le pont de Charenton. Toutefois, on ignore tout du sort des habitants.

En 1465, l’armée de la Ligue du Bien public, formée par des seigneurs contre le roi de France Louis XI, campe dans le voisinage du pont. De nombreux combats y sont livrés. Maisons-Alfort est durant un temps un champ de bataille où s’expriment les belligérants de cette guerre seigneuriale.

Lors des guerres de religion, en 1567, les calvinistes s’emparent du pont de Charenton. Point de passage stratégique, en 1590, une nouvelle bataille a lieu pour la possession de ce même pont ; Henri IV l’enlève aux soldats de la Ligue catholique pendant le siège de Paris.

En raison du coût de la guerre, le roi décida de faire payer à nouveau, en 1652, le droit d’amortissement. Il y a lieu de remarquer que si, d’un côté ; les abbés de Saint-Maur contestaient aux habitants de Maisons la propriété complète des quelques champs dont ils jouissaient en commun, et leur réclamaient de ce fait un impôt sous forme de corvées, le roi reconnaissait leurs droits sur ces mêmes champs, afin de pouvoir à son tour exiger d’eux la taxe de mainmorte[24].

En 1674, Maisons compte parmi les terres et seigneuries réunies en un duché de Saint-Cloud. En 1680, il est question depuis quelque temps de prés communs entre Maisons et Créteil. Ces prés faisaient partie de ceux concédés par les abbés aux habitants pour le pacage de leurs bestiaux. Ces terres avaient été surnommées Prés des pailles, parce que les habitants de Maisons qui fournissaient depuis longtemps les pailles et litières pour la grande écurie du roi, affectaient le revenu qu’elles produisaient à l’acquisition de cette paille quand elle n’avait pas pu y être récoltée ou qu’elle venait à manquer. C’est de l’une de ces livraisons qu’il s’agit, lorsqu’on parle de l’octroi de Paris. Cette paille était plus généralement livrée à Carrières-Charenton, dans les écuries royales au Séjour du roi. En échange de cette fourniture, depuis le roi Jean, en 1351, jusqu’à Louis XV, en 1717, il leur avait été octroyé dix-huit chartes comportant des privilèges dont on peut lire la dernière :

« Louis, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, à tous présents et à venir salut. Nos bien-aimés les habitants de Créteil, Maisons et villages qui en dépendant, nous ont fait remontrer qu’ils sont obligés de fournir à leurs dépens toutes les pailles et litières nécessaires pour les chevaux de notre grande écurie, et de les conduire en quelque lieu que notre dite écurie soit commandée… Pour les indemniser, il leur a été accordé l’exemption de tout port, péage, passage, barrage, travers pour eux leurs chevaux et voitures. »

On les exemptait également de fournir des chevaux ou voitures pour l’armée et l’artillerie, de loger des troupes, et de tout impôt et taxes diverses. Ce qui n’empêche pas qu’à diverses reprises il soit constaté des dépenses occasionnées par l’hébergement de troupes ou de leur passage.

Selon les dénombrements de l’élection de Paris de 1709, la commune abrite 95 feux, elle compte 450 habitants en 1726 et 92 feux en 1745[22].

En 1766, Claude Bourgelat crée l’école vétérinaire

Le , l’école d’Alfort fut transformée en un camp militaire par les jeunes élèves vétérinaires, après avoir fortifié le château et crénelé les murs de l’école et du parc. Soutenus par quelques troupes régulières et des canons, ils défendirent vaillamment le passage du pont de Charenton contre les Alliés.

Par la Loi du , dont voici le texte intégral, la commune est amputée d’environ 40 % de son territoire avec la création de la commune d’Alfortville :

La présente loi, délibérée et adoptée par le Sénat et la Chambre des députés, sera exécutée comme loi de l’État.

À Paris, le . Le ministre de l’Intérieur : « Signé : Jules Grévy », « Signé : Waldeck-Rousseau».

La ligne de chemin de fer Paris-Lyon marquait la frontière entre les deux nouvelles communes.

La crue de la Seine en 1910 (mois de janvier, février) a presque entièrement inondé la commune d’Alfortville et une partie[27] de la commune de Maisons-Alfort dans une zone délimitée par la voie ferrée à l’ouest et l’avenue du Général-de-Gaulle, la rue Victor-Hugo, le rue Georges-Médéric à l’est (Le rapport Picard – analyse de la crue de 1910 – Carte d’inondation des environs de Paris[29])

Pendant l’Occupation, Maurice Lissac (commandant) et l’industriel Roland Deplanque (capitaine) créent en 1942 à Maisons-Alfort un groupe de résistance qui comptera une centaine de membres. Le 9 juin 1944, le commandant Maurice Lissac est arrêté puis déporté au camp de concentration de Buchenwald dont il ne reviendra pas, le capitaine Roland Deplanque le remplace alors. Il est lui aussi arrêté puis fusillé le 22 août 1944 au carrefour de la Croix de Villeroy[31] (entre Tigery et Quincy-sous-Sénart). Les rues « Maurice Lissac » et « Capitaine Roland Deplanque » leur rendent hommage.

Le , le tout premier tir opérationnel d’un missile de type V2, développé par l’Allemagne nazie, tombe sur la ville, et plus précisément sur des immeubles situés 25, rue des Ormes et 35, rue des Sapins. L’objectif était la ville de Paris. Le premier missile balistique opérationnel de l’histoire fit six morts et 36 blessés[33].

Le en début de soirée se produisait un accident dans la gare de banlieue souterraine de Paris-Lyon faisant 56 morts et 57 blessés. Le train de banlieue à l’arrêt qui avait été percuté était un omnibus pour Melun (actuel RER D) desservant Maisons-Alfort. De ce fait de nombreuses victimes habitaient la ville, parmi lesquelles le conducteur du train. Cette tragédie causa une très grande émotion parmi les habitants de Maisons-Alfort.

Jusqu’à la loi du , la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au Val-de-Marne à la suite d’un transfert administratif effectif le , et fait partie de l’arrondissement de Créteil.

Depuis la création du département du Val-de-Marne, la commune était divisée entre les cantons de Maisons-Alfort-Nord et de Maisons-Alfort-Sud. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune constitue désormais le canton de Maisons-Alfort.

Concernant les circonscriptions législatives, les Maisonnais dépendent de la huitième circonscription du Val-de-Marne qui constitue l’une des 12 circonscriptions législatives françaises que compte le département du Val-de-Marne.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l’agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée[35].

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (Loi NOTRe) prévoit également la création le d’établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l’ensemble des communes de la métropole à l’exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d’équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d’eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d’action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées

La commune fait donc également partie depuis le de l’établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois[36] créé par un décret du .

Lors du référendum sur le traité constitutionnel pour l’Europe du , les Maisonnais ont majoritairement voté en faveur du texte proposé (51,48 % de Oui contre 48,52 % de Non avec un taux d’abstention de 29,65 % – France entière : Non à 54,67 % – Oui à 45,33 %). Ces chiffres ne sont pas conformes à la tendance nationale, celle-ci se trouvant en opposition.

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne, la liste d’union de la droite menée par le maire sortant Olivier Capitanio (LR) — qui avait succédé en 2017 à Michel Herbillon, qui, réélu député, avait du démissionner de son mandat de maire en application de la législation limitant le cumul des mandats en France — remporte le scrutin avec 10 467 voix (74,13 % des suffrages exprimés et 40 sièges), suivie par les listes menées par Cécile Panassac (union de la gauche, 2 367 voix, 16,76 %, 4 sièges) et Thomas Maubert (union du centre, 790 voix, 5,60 %, un siège), l’abstention s’étant élevée à 60,01 %

Le conseil municipal de Maisons-Alfort est composé, compte tenu du nombre d’habitants de la commune, de 45 conseillers municipaux, qui élisent en leur sein le maire et ses adjoints.

Depuis sa rénovation faite début 2013, sont affichés dans la salle de réunion du conseil municipal les noms et les photos (disponibles) de tous les élus municipaux et maires, ainsi que ceux des élus décédés en cours de mandat.

La ville de Maisons-Alfort est jumelée avec une seule ville étrangère : Drapeau de l'Allemagne Moers (Allemagne).

Le serment de jumelage a été signé le par René Nectoux, maire de Maisons-Alfort, et Albin Neuse, bourgmestre de Moers.

En 2016, cinquantième anniversaire du jumelage, un groupe de Maisons-Alfort est allé à Moers. A cette occasion, le , le serment de jumelage a été de nouveau signé par Michel Herbillon (maire de Maisons-Alfort) et Christoph Fleischhauer (de) (maire de Moers) réaffirmant les liens entre les deux communes.

En novembre 2018, pour le centenaire de l’Armistice de la première guerre mondiale, un groupe de la ville de Moers a été invité par la ville de Maisons-Alfort. Lors de cette venue, une visite du Palais Bourbon, siège de l’Assemblée nationale, a été organisée[réf. nécessaire] ainsi qu’un dépôt de fleurs à l’Arc de Triomphe, réunissant des élèves du collège Condorcet et leurs correspondants allemands du Grafschafter Gymnasium. Le lendemain, dimanche 11 novembre 2018, une cérémonie a eu lieu au cimetière, puis au monument aux morts où des gerbes de fleurs ont été déposés par les deux villes, donnant l’occasion, fortement symbolique, de voir les drapeaux allemands et français réunis sur le monument aux morts.

L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d’une enquête par sondage auprès d’un échantillon d’adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans,.

En 2020, la commune comptait 57 639 habitants, en augmentation de 5,1 % par rapport à 2014 (Val-de-Marne : +3,15 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Le théâtre Claude-Debussy se trouve place de la mairie et dans le quartier de Charentonneau se trouve le NECC (Nouvel Espace Culturel Charentonneau) qui propose des pièces de théâtre et de documentaires.

Maisons-Alfort compta trois cinémas :

Deux fois par an (en mai et novembre), le nouvel espace culturel Charentonneau (NECC) propose un festival de films sur un thème donné.

À la mi-, le théâtre Debussy acquiert un nouvel équipement spécialisé de projection. A l’occasion de l’inauguration de cet équipement par Michel Herbillon, est mis en place un nouveau cycle[77] de projections cinématographiques sur un rythme de deux films différents récents en quatre séances hebdomadaires, redonnant ainsi un cinéma à Maisons-Alfort.

En 2020, Maisons-Alfort possède une médiathèque, deux bibliothèques et un bibliobus:

Enfin le bibliobus dessert depuis 1982, les quartiers les plus éloignés des bibliothèques: les Planètes, Vert-de-Maisons etc. par des arrêts réguliers et des lectures dans les écoles.

équitation : Le club équestre de Maisons-Alfort qui se trouve dans l’école vétérinaire porte le nom de SHEVA (Société Hippique de l’École Vétérinaire d’Alfort).

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 33 495 € ce qui plaçait Maisons-Alfort au 8 488 rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[84].

La commune dispose de structures pour aider les chercheurs d’emploi dans leurs démarches et leur parcours professionnel ainsi que pour l’orientation.

Un Bureau Information Jeunesse (BIJ) y est présent. Celui-ci propose notamment une bourse de mobilité à destination des jeunes Maisonnais effectuant un stage à l’étranger .

Une mission locale offre, quant à elle, de nombreux services aux entreprises locales, guide les projets professionnels, organise des forums et des évènements autour de nombreuses thématiques comme l’emploi, des droits sociaux…

La mission locale comprend une Permanence de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM), une Permanence Juridique du CIFF (Centre Information Féminin et Familial) ainsi qu’une Permanence du centre d’accueil et d’écoute.

Liste non exhaustive des principaux monuments religieux de la ville :

La ville de Maisons-Alfort bénéficie d’environ 34 hectares d’espaces verts ouverts au public. Une promenade piétonnière est aménagée en bord de Marne sur une longueur de 4 km dont certaines parties sont constituées de passerelles au-dessus de la rivière. Ces espaces verts ont permis à la ville de bénéficier du label Ville fleurie : quatre fleurs Grand Prix attribué en 2006 par le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris.

Les bords de Marne constituent depuis longtemps un lieu de promenade renommé, c’était notamment le cas à la fin du XIX siècle et durant la première moitié du XXe, où les fameuses guinguettes, attractions incontournables à l’époque, attiraient de nombreux badauds. Les Maisonnais aiment bien maintenir le souvenir de ces lieux de réjouissances.

La rue Condorcet (située entre la rue Marc-Sangnier et le bord de Marne) est bordée de cerisiers dont la floraison à mi-avril offre un beau spectacle.

Plusieurs scènes de films ont été tournées à Maisons-Alfort :

Plusieurs chansons évoquent Maisons-Alfort :

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Quelques chiffres sur Pro Couverture 94

Pro Couverture 94 vous propose de multiples services dans le Val-de-Marne (94). Découvrez ici les chiffres dont nous sommes fiers !

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FAQ

Notre entreprise pourra intervenir en tout lieu pour la pose de toit, l’entretien ou bien la remise à neuf, le nettoyage, la mise en place de canalisation, le système d’isolation de vos combles ou bien encore la fixation de fenêtre dans la ville de Maisons-Alfort et au alentour. N’ayez pas peur de nous appeler en cas de doute. Nous ferons un plaisir de vous assister en tant que couvreur au sein de la ville de Maisons-Alfort.

Pour le nettoyage et démoussage de toiture à Maisons-Alfort, nous vous conseillons les produits anti-mousse s’appliquent par vaporisation légère, vous n’observerez pas de différence immédiatement. L’élimination des lichens, de la mousse, des micro-organismes ne sera visible quelques semaines après en vue de faire apparaitre les premiers effets. Traitement imperméable L’hydrofuge, il s’agit d’une substance permettant de garder votre toit face aux mauvais temps. Une substance a un effet perlant, qui laissera l’eau de ruisseler sur votre toiture, et qui transportera avec elle les poussières, les préservant contre la constitution de dépôt de pollution ou bien de mousse. Cette opération améliore l’espérance de vie de votre toiture.
La longévité générale d’un toit en tuiles atteint environ 30 ans. Toutefois, le revêtement peut garder son éclat plus longtemps si elle a reçu, tout au long de son existence, de raccommodages réguliers tels que des démoussages, la révision des ciments sur les solins et entourage de cheminée et le dépoussiérage des chéneaux et gouttières.
Faire l’entretien de son toit de maison conduit à vous protéger des mauvais temps, mais également de garder la beauté de votre maison. En fait, un revêtement en parfait état est signe de sérieux pour le bien être de sa famille. Les choses qu’il faut vérifier fréquemment à Maisons-Alfort sont l’herméticité et l’état de l’ossature. Pour vous assurer du bon état de votre couverture, dépolluez la couverture du toit par un couvreur qualifié pour enlever les mousses et les divers débris qui peuvent l’abîmer. Il est aussi très important d’examiner l’emboîtement et le graissage du mécanisme des fenêtres de toiture. Le contrôle de la fixation des ardoises ou tuiles sur le toit est également un point sur lequel il faut être vigilant, spécialement à la suite d’intempéries. L’ossature de la charpente ne doit pas être sujette aux infiltrations et un examen de l’entrée d’insectes xylophages (capricornes, termites) devrait être fait régulièrement par un couvreur-zingueur. Bénéficiez des travaux de rénovation de votre toiture pour prévoir une nouvelle isolation appropriée et gagner en confort, en période estivale comme en période hivernale.
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