Nettoyage et démoussage de toiture à Villejuif (94800)
Vous souhaitez éliminer les mousses, lichens et champignons de votre toiture ? Pro Couverture 94est spécialisé dans le nettoyage de toiture à Villejuif et le traitement de surfacesans altération. Nous utilisons des solution de nettoyage respectueuse de l’environnement. N’hésitez pas à nous poser vos questions sur le nettoyage de toiture si vous en avez.
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Nettoyage & Démoussage de Toit à Villejuif, 94800
Nettoyer sa toiture à Villejuif s’avère être un travail de première nécessité. C’est un moyen d’assurer la commodité, mais sûrement et aussi les matériaux qui forment la toiture. Grâce à un personnel qualifié dans le domaine, Pro Couverture 94 assure les travaux d’entretien de toit et vos travaux de couvreur à Villejuif ainsi que dans le département des Val-de-Marne. Par conséquent, si vous vivez aux environs, vous pourrez jouir du déplacement gratuit de nos agents. En tant que couvreur à Villejuif, nous proposons en effet des services bien faits quel que soit le modèle de votre toiture.
La raison pour laquelle le service de nettoyage de toit à Villejuif est nécéssaire ?
Le démoussage de toit est indispensable parce qu’en une année, les algues, les lichens et les mousses pourront s’amonceler sur votre logement et ce n’est pas très beau à voir. D’ailleurs, ces végétaux parasites peuvent ternir à la performance de votre toiture en provoquant des intrusions d’eau ou bien des failles de toiture. Sachez que le nettoyage des toitures à Villejuif devra être accompli une fois par an, quel que soit votre type de revêtement de toit. Si vous utilisez des tuiles comme matériau de couverture, il convient de faire le démoussage à raison de deux fois par an.
Le Produit anti-mousse de toiture
Aussitôt que les mousses ainsi que les autres plantes parasites ont infesté votre toit, ces espèces pourront ternir la qualité de votre immeuble. Si vous ne faites pas les travaux adaptés, votre toit risque de rencontrer des problèmes d’intrusion d’eau ou bien de fuite de toit, entre autres. Quand nous réalisons le nettoyage des toits à Villejuif (94800), nous formulons un traitement anti-mousse du toit. Cette technique consiste à mettre une solution algicide ou fongicide sur la toiture pour que les mousses soient complètement et directement éradiquées. Souvenez-vous que le démoussage de toiture doit être effectué toutes les 5 années. Cela se réalise grâce à de différentes solutions
Le produit anti-mousse : suite à un grand entretien de votre toit, le traitement anti-mousse permet d’éviter la réapparition des herbes gênantes. Il existe deux sortes de traitement : ceux qui se font par un rinçage et ceux qui ne se rincent pas.
La solution hydrofuge : il s’agit d’une solution anti-humidité, qui aide à lutter de manière efficace contre les infiltrations d’eau.
L’installation d’un filtre cuivre : ce produit s’oxydera avec l’eau, ce qui permet de lutter efficacement contre la mousse.
L'entretien et le démoussage de vos tuiles à Villejuif entre les mains d’un spécialiste
Vous avez une couverture en tuiles ? Cette matière est extrêmement sensible à l’invasion des algues, des lichens et des mousses. Si vous voulez avoir une belle toiture pendant toute l’année, le nettoyage et le démoussage de tuiles devraient être fait deux fois par an. Nous assurons les travaux grâce à un dispositif de vaporisation, d’un nettoyeur à pression, entre autres. Nous connaissons le produit approprié à ce genre de couverture. Pour un rendu parfait, évitez de nettoyer vous-mêmes vos tuiles. Pourquoi ne pas consulter un couvreur professionnel à Villejuif tel que Pro Couverture 94 ?
Comment se passe l’opération de démoussage et de nettoyage d’un toit à Villejuif?
En premier : le nettoyage manuel des mousses et débris sur le toit.
Ensuite, le contrôle de l’imperméabilité de la toiture : faîtages, gouttières, tuyaux d’écoulement, solins, jointures en zinc …
Et troisièmement l’utilisation d’une solution préventive qui sert à retarder l’apparition des mousses.
Alors, que ce soit pour effectuer le démoussage de vos tuiles ou encore pour le nettoyage de vos toitures, nos équipes d’agents couvreurs chevronnés peuvent réaliser les projets d’étanchéité comme la finition par injection hydrofugée ou alors la finition par injection hydrofugée . Nous pouvons également effectuer les revêtements étanches en couleur.
Autres villes d'interventions pour du nettoyage de toiture
Villejuif est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France.
Ses habitants sont appelés les Villejuifois.
Villejuif est située au nord-ouest du département du Val-de-Marne. Elle se trouve à 8 kilomètres du centre de Paris (Notre-Dame) et son point le plus au nord se trouve à 1,5 kilomètre de la porte d’Italie.
La ville s’étend sur 534 hectares, avec environ 2 kilomètres d’est en ouest et 3 kilomètres du nord au sud. Ses communes limitrophes sont Le Kremlin-Bicêtre au nord, Arcueil au nord-ouest, Cachan à l’ouest, L’Haÿ-les-Roses au sud-ouest, Chevilly-Larue et Vitry-sur-Seine au sud-est et Ivry-sur-Seine au nord-est.
Villejuif est située à l’extrême nord du plateau du Hurepoix, partie désignée sous le nom de plateau de Longboyau, entre les vallées de la Seine et de la Bièvre. La majeure partie de la commune (le Haut-Villejuif) se situe sur le plateau, tandis qu’une autre partie se trouve sur les coteaux, à l’est et à l’ouest (Bas-Villejuif).
Son point culminant est le parc départemental des Hautes-Bruyères, à une altitude de 120 mètres, où est installée une redoute. Il s’agit également du point le plus haut du Val-de-Marne. Le point le plus bas de la commune se situe en revanche au nord-est, à la limite du Kremlin-Bicêtre et d’Ivry (rue Vérollot).
Villejuif surplombe ainsi ses communes limitrophes à l’est (Ivry et Vitry) et à l’ouest (Arcueil et Cachan).
Le sol du plateau de Villejuif est composé d’une couche marno-calcaire (meulière de Brie), sur lequel repose un manteau limoneux, qui contient du sable en forte proportion. Il est peu épais sauf aux Hautes-Bruyères (10 mètres), où des sablières ont été exploitées jusqu’au XX siècle[ncvj 2].
Le creusement des coteaux de Villejuif par les vallées de la Seine et de la Bièvre, au cours du quaternaire a rendu accessible la couche marno-calcaire, d’où l’exploitation du gypse dès le XVIIIe siècle et l’installation de briqueteries aux XIXe et XX siècles’ des traces de tuileries romaines ayant été trouvé rue de la république.
La station météorologie de référence pour Villejuif est celle de Saint-Maur-des-Fossés, mais la station d’observation utilisée pour les relevés météorologiques est celle de Paris-Montsouris.
Le climat de Villejuif est celui de la zone dense de l’Île-de-France. Il s’agit d’un climat océanique dégradé caractérisé par une faible amplitude thermique et des précipitations assez fortes. La température y est plus élevée en moyenne d’un degré ou deux par rapport aux zones rurales de l’Île-de-France, au sud du Val-de-Marne notamment. Les précipitations sont assez faibles (640 mm en moyenne à l’année et 111 jours de précipitations par an). Le mois le plus froid de l’année est janvier avec une température moyenne de 4,1 °C ; le mois le plus chaud est juillet, avec 19,5 °C. La température moyenne dépasse 25 °C 37 jours par an environ, dont 6 au-delà de 30. La durée moyenne annuelle d’ensoleillement est de 1 798 heures[5].
La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1989 à 2014 permet de connaître l’évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Villejuif est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Elle appartient à l’unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[10] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire regroupe 1 929 communes[13][14].
Le territoire de la commune se compose en 2017 de 0,62 % d’espaces agricoles, forestiers et naturels, 13,9 % d’espaces ouverts artificialisés et 85,48 % d’espaces construits artificialisés
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 26 596, alors qu’il était de 25 200 en 2013 et de 23 825 en 2008.
Parmi ces logements, 91,2 % étaient des résidences principales, 2,6 % des résidences secondaires et 6,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 16,3 % d’entre eux des maisons individuelles et pour 82,5 % des appartements.
La commune respecte les obligations de disposer d’un pourcentage minimal de 25 % de logement social en France posées par l’article 55 de la Loi SRU. En effet, au sens du recensement, elle dispose en 2008 de 7 796 logements sociaux (33,2 % du parc des résidences principales), nombre qui a crû à 7 829 en 2018 (32,3 %) proportionnellement à la croissance du nombre de logements de la ville.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villejuif en 2018 en comparaison avec celle du Val-de-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,6 %) supérieure à celle du département (1,8 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d’occupation de ces logements, 37,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (37,5 % en 2013), contre 45 % pour le Val-de-Marne et 57,5 pour la France entière.
Villejuif possède dans son sous sol des traces de l’époque romaine. La voie vers Rome ne passait pas par Villejuif mais par Ivry, Vitry via Melun et Lyon, capitale des Gaules. Villejuif est traversée par la route nationale 7, à l’époque route royale aménagée et nivelée pour faciliter l’accès vers la demeure royale de Fontainebleau. En amont et en aval de Villejuif, la RN7 s’appelle toujours avenue de Fontainebleau. Elle empruntait alors le trajet de l’actuelle avenue de Paris, de la rue Jean-Jaurès, puis de l’avenue de Stalingrad (la déviation de la RN 7 par le boulevard Maxime-Gorki ne fut construite qu’en 1935). C’est autour de cet axe, appelé « Grande rue » dès le XV siècle, que se développa la ville, notamment avec l’installation d’artisans puis de commerçants, attirés par le passage et la proximité de Paris.
La situation de Villejuif à l’extrémité d’un plateau et la forte pente de la « montagne de Villejuif » (fin de l’avenue de Paris et début de la rue Jean-Jaurès) ont facilité l’installation de moulins à vent, de mires, puis des premiers télégraphes (ligne Paris-Venise). En revanche, l’absence de voies navigables (Villejuif se situe entre la Seine et la Bièvre) a pu freiner l’arrivée d’autres moyens de transports jusqu’au XX siècle, notamment le chemin de fer, ce qui a amené les industries nouvelles à s’installer plutôt dans les villes limitrophes[ncvj 2].
Villejuif est traversée par quatre axes principaux :
Enfin, Villejuif est longée à l’ouest par l’autoroute A6, qui forme sa délimitation avec Cachan.
L’ex RN 7 a été transformée en boulevard urbain (place plus importante pour les piétons, cyclistes, transports en commun… et réduction de la circulation), de la porte d’Italie à Chevilly-Larue.
Du fait de la présence de nombreux hôpitaux, situés, de plus, loin des stations de métro, le trafic automobile est le plus important de l’agglomération du Val-de-Bièvre.
Malgré les demandes de la municipalité depuis l’avant-guerre, le prolongement de la ligne 7 du métro (branche bleue) ne sera réalisé que le [19]. Elle dessert, du nord au sud, les stations Villejuif – Léo Lagrange, Villejuif – Paul Vaillant-Couturier et le terminus Villejuif – Louis Aragon.
La ligne 7 du tramway d’Île-de-France, ouverte le , a son terminus nord à la station Villejuif – Louis Aragon et son terminus sud à Athis-Mons, en attendant un prolongement ultérieur à la gare de Juvisy. Elle suit le trajet de l’ex route nationale 7 vers le sud devenue RD 7. Sa réalisation concrétise ainsi les demandes du conseil municipal d’avant-guerre de prolongement jusqu’à Orly.
Villejuif est desservie par les lignes du réseau de bus RATP suivantes :
Enfin, un parking d’intérêt régional de 480 places a été installé à Louis-Aragon. Son but est d’amener les automobilistes à y laisser leurs voitures pour prendre le métro vers Paris, afin de réduire le trafic.
Villejuif est actuellement un des principaux nœuds prévus pour les futurs développements des transports en commun en Île-de-France. Ainsi, Arc Express soutenu par la région Île-de-France et le conseil général du Val-de-Marne prévoyaient de desservir Villejuif – Louis Aragon. Le Réseau primaire (grand huit) du gouvernement prévoyait Villejuif comme terminus des liaisons est et ouest (Villejuif – Saint-Denis Pleyel), et dans un premier temps comme terminus de la ligne 14, avant son prolongement vers l’aéroport d’Orly[23]. Cependant, en raison d’une demande d’accélération de la desserte de l’aéroport d’Orly, le chantier de la ligne 14 d’Olympiades à Aéroport d’Orly se fera en un seul et même chantier, dont la mise en service est prévue pour 2024. L’ouverture de la future ligne 15, qui sera en correspondance avec la ligne 14 à Villejuif – Gustave Roussy[25] et avec la ligne 7 du métro et la ligne 7 du tramway d’Île-de-France à Villejuif – Louis Aragon, est prévue en 2025 sur le tronçon Pont de Sèvres – Noisy – Champs. Une station L’Haÿ-les-Roses est prévue à la limite de Chevilly-Larue et de L’Haÿ-les-Roses.
Le nom de « Villejuif » apparaît pour la première fois dans une bulle du pape Calixte II, datée du , sous la forme Villa Judea qui représente une version latinisée de l’expression du vieux français signifiant « village juif ». Ce nom se retrouvera dans de nombreuses autres bulles tout au long du XII siècle, sous des graphies légèrement différentes (villis Jude, ville Judei…), toujours avec la deuxième partie correspondant à la traduction latine de la racine signifiant « juif » en vieux français. Au cours des siècles suivants, le nom de la ville apparaît dans les sources françaises comme Villejuifve, ce qui également correspond à l’orthographe archaïque de l’expression « ville juive »[27]. Ces éléments indiquent clairement que le nom de ce lieu était conçu par les gens de l’époque comme signifiant « village juif ». L’auteur du XVII siècle Louis Moréri indique que la ville aurait été fondée par des Juifs chassés de Paris. Ce détail n’est cependant confirmé par aucune source et pour cela le rôle exact de la communauté juive dans la fondation (ou le développement) de la ville reste obscur[28].
Une autre graphie se retrouve au XIII siècle, sous la forme de Villa Jullitoe ou Villa Julite[29]. Toutefois il serait illogique de penser que le toponyme puisse apparaître en l’honneur de sainte Julitte, à laquelle est dédiée l’église paroissiale Saint-Cyr-Sainte-Julitte. Il s’agit plus probablement d’une confusion entre Villa Judea et Villa Julittoe, due aux religieux chargés des registres de Notre-Dame, comme en atteste le fait que cette graphie n’arrive qu’un siècle après la première et qu’elle n’est pas connue dans les sources des siècles suivants.
Au cours du XX siècle, plusieurs hypothèses étymologiques alternatives ont été proposées.
La première affirme qu’il s’agit d’une déformation du nom du propriétaire d’une villa gallo-romaine, Juvius ou Juveus. Les partisans de cette idée notent la présence avérée de restes d’habitat gallo-romain[29]. Cette idée apparaît comme peu crédible. D’un côté, elle est purement spéculative : aucune preuve de l’existence d’un notable gallo-romain au nom de Juvius dans cette région n’existe. D’un autre côté, l’étymon proposé ne permet d’expliquer ni phonétiquement, ni sémantiquement les formes attestées dans les sources comme « Villa Judea » ou Villejuifve.
La deuxième hypothèse considère que Villejuif serait dérivé de Villegie, lui-même dérivé de villa Gesedis. On trouve en effet mention d’un village nommé Gesedis au X siècle dans les chroniques de Flodoard[31], et Villegie est utilisé, selon certains chercheurs, plusieurs fois pour désigner Villejuif au XII siècle[29]. Si le positionnement du village Gesedis au même endroit que Villejuif et l’utilisation de Villegie pour désigner Villejuif dans les sources médiévales se confirment, il pourrait s’agir alors du véritable étymon pour le toponyme. Dans ce cas, le changement vers un nom signifiant « village juif » pourrait être dû à un glissement sémantique, avec un remplacement d’un nom dont le sens originel était perdu par celui dont le sens était bien clair à l’époque où des nombreuses communautés juives étaient présentes dans le nord de la France. Par contre, sans ces confirmations, l’hypothèse selon laquelle le toponyme témoigne que le lieu a été habité dans le passé par des juifs reste la plus simple et pour cela la plus plausible.
Les archéologues A. Laville et R. Mansuy ont découvert, en 1896, l’existence d’un site préhistorique à l’emplacement actuel du parc départemental des Hautes-Bruyères, au sud-est de la ville. Ils y découvrent, dans les sablières, de nombreux objets en silex du néolithique : des outils — perçoirs, grattoirs, lames… —, mais aussi des armes — haches, pointes de flèche… Une petite lame de bronze est également exhumée, ce qui permet de dater le site de la fin de l’âge de la pierre, à l’époque « où le bronze encore rare n’avait remplacé que dans des cas exceptionnels les instruments en pierre »,.
Les recherches ultérieures, notamment celles menées par François Bordes, puis par Georges Bailloud, ont permis de dater la création du village aux Hautes-Bruyères à il y a environ 6 000 ans, dans ce qui était autrefois une terre de chasse dans une zone presque entièrement sous les eaux. Ces populations sédentaires vivent alors de l’agriculture et de l’élevage.
À partir des années 1930, des gisements de pierres taillées d’époque moustérienne sont également découverts dans les carrières Bervialle I et II
Un « espace d’aventures archéologiques » est maintenant ouvert dans le parc départemental des Hautes-Bruyères, animé par le laboratoire départemental d’archéologie du Val-de-Marne, pour découvrir la préhistoire.
L’histoire de Villejuif dans l’Antiquité et le haut Moyen Âge est longtemps restée un trou noir, et reste encore mal connue. Le , les travaux pour la construction d’une conduite de gaz mettent au jour deux murs et des éléments de voirie, qui seront en 1980-1981 datés de l’époque gallo-romaine.
En 1997, dans le centre de Villejuif (rues Georges-Le-Bigot et du Colonel-Marchand) ont mis au jour d’autres vestiges de l’époque gallo-romaine, dont un édifice antique ou mérovingien de prestige. Il s’agit probablement, rue Georges-Le-Bigot d’un habitat à caractère artisanal de la période antique et du haut Moyen Âge, avec continuité de l’occupation du site, avec réutilisation des structures, de la période gallo-romaine à l’époque carolingienne. D’autres fouilles, rues Romain-Rolland et du Colonel-Marchand ont conclu à la présence probable d’un bâtiment antique à proximité[36].
La paroisse de Villejuif a vraisemblablement été fondée à la fin de l’époque carolingienne, vers le IX siècle, comme en attestent à la fois les cartulaires du début du IIe millénaire et la titulature de l’église de Villejuif, Saint-Cyr-Sainte-Julitte, qui ne se sont répandues qu’à l’époque carolingienne.
Les terres sont alors principalement la propriété d’institutions religieuses (chapitre de Notre-Dame de Paris, Saint-Pierre de Jumièges…), sur lesquels travaillent leurs serfs : il s’agit principalement de vignes sur les coteaux à l’est et de champs de céréales sur le plateau.
Avec l’accroissement du nombre d’affranchissements, la population du village se développe à partir du XIII siècle. Une église est construite à l’emplacement de l’actuelle église Saint-Cyr-Sainte-Julitte[ncvj 4]. Les bourgeois parisiens achètent une partie des terres, qu’ils louent aux villageois ; la noblesse de robe se voit également attribuer des terres.
Le village est partiellement détruit pendant la guerre de Cent Ans, et l’église brûlée. Il connaîtra une nouvelle phase de développement au XVI siècle : l’église est reconstruite, des bâtiments apparaissent autour de la route royale (actuelle rue Jean-Jaurès), une école est ouverte, des artisans s’installent… Les ordres religieux vendent une partie de leurs terres, tandis que les seigneurs agrandissent leur domaine[ncvj 5]. Le séminaire Saint-Nicolas du Chardonnet y installe sa maison de repos, à côté de l’église (l’actuelle mairie) et constitue un domaine qui regroupera jusqu’à la moitié des terres de Villejuif.
L’expansion de Villejuif continue aux XVII et XVIIIe siècles : le long de la voie royale, des commerçants s’installent, la population atteint 270 feux. Le village reste majoritairement constitué de paysans pauvres, qui louent leurs terres, où les locataires interdisent l’élevage. L’extraction du plâtre commence au nord-ouest de Villejuif (Monsivry), commençant une activité économique qui sera centrale dans la ville jusqu’au XX siècle[ncvj 6].
Située à proximité de Paris, Villejuif est aisément accessible : on la choisit donc pour y faire des expériences scientifiques, comme la mesure du méridien terrestre ou celle de la vitesse du son[39]
Avec la Révolution (premier maire, Charles Radot, 1790) les structures foncières éclatent, mais les grandes propriétés ne disparaissent qu’au cours du XIX siècle. Des fortunes locales s’érigent (Godefroy, Fleury, Labbé) sur le blé et les carrières de plâtre, plus tard sur les pépinières. La vigne, dès la fin du XVIIIe siècle, ne joue qu’un rôle mineur.
De 1790 à 1795 Villejuif était un canton du district de Bourg-de-l’Égalité.
C’est après les batailles de 1870-1871 (qui ravagent la commune : combat de la redoute du Moulin de Saquet en 1871 tenue par les communards et tombée par traîtrise entre les mains des troupes versaillaises dans la nuit du 3 au ) que le Villejuif rural commence à céder du terrain avec l’installation (1890) de l’asile d’aliénés (Villejuif accueillera encore deux autres centres hospitaliers : Paul-Brousse (1913) et l’Institut Gustave-Roussy).
Une ligne de tramway à chevaux dessert Villejuif depuis 1876 ; elle n’atteindra le centre-ville qu’à partir de 1889, ce qui a nécessité l’adoucissement de la pente de la « montagne », avenue de Paris. Son terminus nord est alors la gare d’Austerlitz.
Les premiers lotissements ouvriers datent de la fin du XIX siècle, dans le Bas-Villejuif (rue de la Pompe) ; puis se poursuivent dans le centre du parc des Saint-Roman (avant 1914) ; enfin, entre les deux guerres, se multiplient sur le plateau, créant une belle zone de pavillons ouvriers, où les cheminots, traminots, postiers, gaziers et électriciens sont très nombreux. Des quartiers entiers sortent de terre : dans le Bas-Villejuif, cela s’accompagne de rares services pour la population, comme l’école Pasteur (1928) ou l’église Sainte-Thérèse (1934)[41], devenue paroisse de plein exercice après-guerre.
Ce mouvement urbain commencé avec la municipalité radicale de Reulos (1883-1904), poursuivi de manière empirique sous Destauret (1908-1925) devient systématique à partir de 1925 avec les municipalités communistes (Guillemin, Cantini, Paul Vaillant-Couturier (1929-1937), Le Bigot, Louis Dolly, Pierre-Yves Cosnier, Claudine Cordillot…) qui se sont succédé durant pas moins de huit décennies. À la fin du XIX siècle, un tram relie Villejuif à la porte d’Italie et, au-delà, à Châtelet : Villejuif n’est plus isolée mais devient une banlieue de Paris, aisément accessible. D’ailleurs, la majeure partie des ouvriers qui s’installent et batissent des pavillons ne travaillent pas sur place, mais dans les arrondissements du sud-est de Paris. Cette accessibilité nouvelle, tout en restant à l’écart de Paris, explique certains épisodes historiques qui ont Villejuif comme toile de fond, comme la réunion secrète des prêtres ouvriers de 1954[42].
En 1907, le tramway devient électrique ; la ligne, exploitée par la Compagnie générale parisienne de tramways (CGPT) sous la dénomination TS1, a pour terminus Châtelet. Lors de la création de la Société des transports en commun de la région parisienne (STCRP) en 1921, elle devient la ligne 85 et dessert alors la place d’Italie, la porte d’Italie et traverse le Kremlin-Bicêtre[44]. Après avoir vu son trajet raccourcir (son terminus nord n’est plus Châtelet mais place d’Italie), le tramway 85 est remplacé définitivement par une ligne de bus à partir d’avril 1933.
En 1933, Villejuif est déjà desservie par deux autres lignes de bus qui suivent le trajet de la RN 7 :
À partir des années 1950, s’ajoutent entre les pavillons mais aussi sur des vastes terrains agricoles du Sud de la commune, des grands ensembles (Lozaits, Robert Lebon, Alexandre Dumas…) essentiellement constitués de logements sociaux. Des immeubles sont également détruits en centre-ville, occassionant la destruction de la moitié du bourg historique de Villejuif (tout le côté Nord de la rue du Moûtier, renommée rue Georges-Lebigot). De nombreuses rues sont tracées, ce qui permet à la municipalité communiste d’imposer sa culture politique à l’espace urbain. Cette politique se poursuit jusque dans les années 1990 (avenue des Hauts-Bruyères ; cité du Vercors, 1993) sur des jardins ouvriers et parfois encore sur des bâtiments anciens : le château de Villejuif est ainsi détruit en 1989 pour être remplacé par un immeuble[48].
En 1984, la ligne 7 du métro de Paris est prolongée jusqu’à Villejuif (3 stations), ce qui vient faire évoluer la sociologie de la ville, encore plus facilement accessible depuis Paris. La hausse des prix de l’immobilier y attire dans les années 2000 une population nouvelle, plus aisée et plus jeune, ce qui a des conséquences sur l’administration locale. Dès 1995, la liste communiste n’obtient que 51,73% des voix, et l’élection est annulée pour « manœuvre électorale » : une élection partielle est organisée en 1997, où le P.-Y. Cosnier est de nouveau élu, avec 55,23% des voix au premier tour. Les communistes sont encore réélus, avec 50,05% des voix au premier tour, en 2001. Un second tour est nécessaire en 2008, et les 50% ne sont plus atteints. En 2014, une union hétéroclite est nouée au second tour entre la droite (F. Le Bohellec), les écologistes (N. Gandais), une partie de la gauche (Ph. Vidal) et les centristes (J.-F. Harel), destinée à faire barrage aux communistes : cette alliance l’emporte et, pour la première fois depuis 1925, les communistes ne sont plus aux affaires de la Ville, mais la majorité se déchire et se délite petit à petit.
L’urbanisation est aujourd’hui achevée au sens où tout le périmètre constructible est construit.
Plusieurs attentats ou projets d’attentat ont eu Villejuif pour cadre ces dernières années. Le , un étudiant, Sid Ahmed Ghlam, est arrêté fortuitement après un meurtre alors qu’il projette d’un commettre un attentat à l’arme à feu dans l’église Saint-Cyr-Sainte-Julitte ainsi qu’en l’église Sainte-Thérèse pendant la messe dominicale,. La ville de Villejuif avait déjà été la cible d’un terroriste lors des attentats de janvier 2015 en France, Amedy Coulibaly avait fait exploser une voiture[51]. En , le hall de la mairie est incendié le soir des attentats de Paris le 13 novembre 2015. Quatre jours après, la ville est de nouveau marquée par des départs de feux criminels dans plusieurs quartiers[52]. Lors de l’Attaque du 3 janvier 2020 à Villejuif, Nathan Chiasson tue une personne et en blesse deux autres avec un couteau.
Antérieurement à la loi du , la commune faisait partie du département de la Seine. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-de-Marne et à son arrondissement de L’Haÿ-les-Roses après un transfert administratif effectif au .
Pour l’élection des députés, elle fait partie de la onzième circonscription du Val-de-Marne avec Gentilly Ouest, Arcueil et Cachan.
Villejuif a été de 1793 à 1984 le chef-lieu du canton de Villejuif, année où elle est partagée entre les cantons de Villejuif-Est et de Villejuif-Ouest. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais le bureau centralisateur du seul canton de Villejuif.
Villejuif dispose de plusieurs administrations et services publics : quatre bureaux de poste, un centre des impôts, un Pôle emploi, un centre de sécurité sociale, une caserne de sapeurs-pompiers. Elle dispose également d’un commissariat subdivisionnaire, mais dépend du commissariat central du Kremlin-Bicêtre[Quand ?].
Un tribunal d’instance est également installé à Villejuif. Les tribunaux de grande instance et de commerce se trouvent à Créteil.
Jusqu’en 2016, Villejuif était la principale commune de la communauté d’agglomération du Val de Bièvre, qui regroupait six autres communes : Arcueil, Cachan, Fresnes, Gentilly, L’Haÿ-les-Roses, Le Kremlin-Bicêtre.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l’agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[58].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d’ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).
La commune a donc également été intégrée le à l’Établissement public territorial Grand-Orly Seine Bièvre, qui remplace notamment la communauté d’agglomération du Val de Bièvre[59].
Durant presque un siècle, Villejuif fit partie de la « banlieue rouge » : son maire était communiste et sa majorité municipale à gauche de 1925 à 2014. À l’élection municipale de 2014, la liste menée par le candidat UMP Franck Le Bohellec remporte le scrutin. Claudine Cordillot est battue (43,52 % contre 48,69 %) par l’union au 2e tour de quatre listes concurrentes : UMP, UDI, DVG et EELV, Toutefois, le communiste Pierre Garzon est élu maire au terme des municipales de 2020 pour le mandat 2020-2026.
En 1995, le maire sortant Pierre-Yves Cosnier, bras droit de Georges Marchais, est élu au premier tour avec 51,73% des voix. L’élection est cassée par le Conseil d’État en raison de « manœuvres électorales » à la demande du candidat de droite, Daniel Richard. Il est suivi par la Cour sur un de ses arguments: « le jour du scrutin, des agents de la mairie avait établi des listes permettant de connaître en cours de journée les électeurs qui avaient snobé l’isoloir. Un procédé de nature à « permettre l’exercice de pressions de dernière heure» ».
Une élection partielle a donc lieu le , que Pierre-Yves Cosnier remporte dès le premier tour avec un meilleur score qu’en 1995 : 55,23% des suffrages exprimés.
En 2001, la liste de Claudine Cordillot, devenue maire en 1999 en raison de la maladie de P.-Y. Cosnier, obtient 50,05 % des voix et est élue au premier tour. Les Verts obtiennent 23,06 % ; la liste de droite 26,88 %.
À l’élection municipale de 2008, Claudine Cordillot, à la tête d’une liste d’union de la gauche (PCF – PS – MRC – LO) est réélue avec 47,52 % des suffrages, au second tour lors d’une quadrangulaire. Jean-François Harel (DVD) obtient 27,62%, Jorge Carvalho (Modem) 12,28% et Jeanine Rollin-Coutant (écologiste) 12,57%. Seule une liste, ayant obtenu un faible score, avait été éliminé au premier tour.
Lors des élections municipales de 2014 dans le Val-de-Marne, six listes étaient en position de se maintenir au second tour : Union de la gauche dirigée par Claudine Cordillot (32,72 %), UMP conduite par Franck Le Bohellec (17,15 %), UDI (15,81 %), DVG (10,64 %), EELV (10,41 %) et FN (11,22 %). Au second tour, les listes UMP, UDI, DVG et EELV se sont réunies en une liste « diverse » conduite par Franck Le Bohellec sous le nom Union citoyenne pour Villejuif : ils remportent l’élection avec 48,69% des voix contre 43,52 à la liste Cordillot. Franck Le Bohellec, tête de la liste ayant fait le meilleur score au premier tour parmi les quatre est choisi comme maire,.
Villejuif est alors un des rares cas d’union de l’UMP, de l’UDI, de divers gauche (ex-PS) et d’écologistes (EELV) dans une commune de grande taille. Des questions politiques et des problèmes entre personnes vont amener cette majorité à se déliter : la première adjointe (N. Gandais, EELV) est exclue de l’exécutif en , ce qui provoque le départ du groupe EELV de la majorité municipale, bientôt suivie d’une partie de la gauche (Ph. Vidal), et d’une recomposition de la majorité du maire autour de la droite, du centre et d’une partie de la gauche.
Pour les élections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne, lors du premier tour de mars, la liste menée par le maire sortant (LR) arrive en tête avec 42,94 % des suffrages exprimés, contre celle du communiste Pierre Garzon, qui obtient 26,29 %, de Nathalie Gandais (EELV) qui obtient 9,69%, et d’Alain Weber (PS) qui obtient 9,41%, nécessitant un second tour pour les départager.
Au second tour, la liste PCF-G.s-GC menée par Pierre Garzon — et qui bénéficiait de la fusion des listes du premier tour menées par Natalie Gandais (EÉLV-GE-PA) et Alain Weber (PS-PRG-MRC-GRS-PP-ND) — a obtenu la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 6 196 voix (51,89 %, 34 conseillers municipaux élus dont 1 conseiller métropolitain), devançant de 452 voix la liste SL-UDI menée par le maire sortant Franck Le Bohellec, qui a obtenu 5 744 voix (48,10 %, 11 conseillers municipaux élus). Lors de ce scrutin marqué par la crise de la pandémie de Covid-19 en France et où LaREM a refusé de donner une consigne de vote, 59,45 % des électeurs se sont abstenus,.
Ces résultats sont contestés par le maire sortant Franck Le Bohellec, dont la liste a été battue par 452 voix d’écarts par la liste menée par Pierre Garzon, alléguant de « nombreuses irrégularités constatées durant la campagne électorale mais également lors des opérations électorales »[72]. Le tribunal administratif de Melun constate le que 33 suffrages ont été exprimés de manière irrégulière et que des publications ont irrégulièrement sponsorisées sur un réseau social, mais rejette les autres griefs. Compte tenu de l’écart du nombre de voix entre les deux premières listes, le tribunal juge que ces irrégularités n’ont pas altéré la sincérité du scrutin, et confirme l’élection de 2020, en retranchant à la liste gagnante les 33 suffrages irréguliers. La liste de Pierre Garzon est donc réputée avoir gagné avec 6 163 voix. Michel Zulke (LREM), chef de file de l’opposition, n’a pas indiqué s’il comptait faire appel de ce jugement.
Les deux conseillers départementaux de Villejuif, Flore Munck et Pierre Garzon (PCF), sont élus en 2015 et réélus en 2021.
L’actuelle députée de la circonscription est LREM (puis EDS) Albane Gaillot), depuis 2017 ; elle est arrivée en tête à Villejuif.
À la présidentielle de 2007, Ségolène Royal récolte 33,73 % des voix, devant Nicolas Sarkozy (23,73%), François Bayrou (17,29%), Jean-Marie Le Pen (8,3%) et Marie-George Buffet (6,44 %). Au second tour, Ségolène Royal obtient 59,95% des voix contre Nicolas Sarkozy.
En 2012, François Hollande (PS) arrive largement en tête avec 36,12%, devant Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche soutenu par le PCF – près du double de son score au niveau national) avec 21,05%, puis Nicolas Sarkozy (17,15%) et Marine Le Pen (12,65%). Au second tour, François Hollande obtient 68,30% contre Nicolas Sarkozy.
À la présidentielle de 2017, Jean-Luc Mélenchon (LFI) arrive en tête du premier tour (33,7%) devant Emmanuel Macron (26,05%), François Fillon (13,03%) et Marine Le Pen (11,42%). Au second tour, la ville vote pour Emmanuel Macron à 81,29%.
Le conseil municipal de Villejuif est composé de 45 conseillers municipaux dont le maire et ses adjoints.
Durant l’été 2020, les délégations des maires-adjoints sont remaniées par le maire, afin d’adapter l’action municipale à la la transition écologique et d’«accélérer, consolider et corriger» le programme municipal.
La ville est marquée par une forte continuité politique entre 1925 et 2014 : sauf pendant la période de la Seconde Guerre mondiale, elle était administrée par des municipalités à direction communiste. En 2014, Franck Le Bohellec (UMP → LR) remporte l’élection municipale, mais est batu par une liste d’union de la gauche lors des élections de 2020.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d’une enquête par sondage auprès d’un échantillon d’adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans,.
En 2020, la commune comptait 56 349 habitants, en diminution de 2,48 % par rapport à 2014 (Val-de-Marne : +3,15 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Après une baisse continue du solde migratoire jusqu’en 1990, il a enregistré pour la première fois une hausse dans la période 1990-1999 (passant de -1,51 % à -0,91 %). Le solde naturel, lui, est reparti à la hausse depuis 1975. Ainsi, la population a pour la première fois augmenté entre 1999 et 2006, après une baisse continue depuis 1975. Cette tendance détonne avec la tendance départementale ou régionale, dont le solde migratoire baisse depuis 1990[93][94].
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d’un âge inférieur à 30 ans s’élève à 40,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l’inverse, le taux de personnes d’âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu’il est de 19,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 26 117 hommes pour 28 847 femmes, soit un taux de 52,48 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,91 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s’établissent comme suit.
La ville de Villejuif relève de l’académie de Créteil. Elle dispose de 13 écoles maternelles, 11 écoles primaires, 5 collèges, et d’un lycée intercommunal, Lycée intercommunal Darius-Milhaud (en). Elle accueille également plusieurs établissements d’enseignement supérieur.
Les premières écoles de Villejuif, créées à la suite de la loi Guizot, étaient hébergées en mairie, dans une avancée construite sur la façade sud. En 1886, y sont installées une école de garçons, une école de filles et une salle d’asile (ancêtre de l’école maternelle) ; 228 élèves (155 garçons et 73 filles) fréquentaient les deux écoles[29].
Le conseil municipal décide donc, le , de construire un nouveau groupe scolaire sur un terrain situé au centre de la ville, en commençant par une école enfantine. Celle-ci sera achevée en 1885, tandis que la construction des écoles de fille et de garçon ne fut lancée qu’en 1886, pour des raisons budgétaires, et achevée en 1889. Ce groupe scolaire, d’abord appelé Les Écoles puis école du Centre correspond aujourd’hui au collège du Centre[29].
La croissance rapide de la population et les progrès de la scolarisation (en 1899-1900, ce sont 543 élèves qui fréquentent les trois écoles) contraignent la municipalité à aménager de nouvelles classes dans des préaux, la salle des fêtes, ou de louer des bâtiments temporairement. Une nouvelle école maternelle (dite du bas de la Côte) est ouverte dans le bas-Villejuif en 1911[29].
Pour faire face à l’explosion démographique du début du siècle (de 741 élèves en 1914, on passe à 1 400 en 1926), la mairie acquiert, en 1922 des terrains contigus à l’école du bas-Villejuif pour y construire un groupe scolaire, et lance sa construction en 1924. Le groupe scolaire Pasteur accueille les élèves à partir du [hbp 5].
Il sera rejoint en 1933 par le groupe scolaire Karl-Marx. Cette école, que Marcel Cachin qualifie de « plus belle école de France » dans L’Humanité est un geste fort de la part de la municipalité communiste, en place depuis 1925, et de son architecte, André Lurçat : il s’agit de construire l’école la plus moderne qui soit — verre et béton, grands espaces, lumière, installations sportives, solarium, équipement moderne (TSF, projection de cinéma…) — avec un but avoué : montrer ce que serait une école dans une société communiste (Marcel Cachin écrit : « Cette école est une anticipation, un début, un modèle, un exemple. »). Son inauguration attirera plus de 20 000 personnes, en présence de Maurice Thorez, secrétaire général du Parti communiste français et Paul Vaillant-Couturier, maire de Villejuif,. Aujourd’hui le collège est classé en ZEP (Zone d’éducation prioritaire) et connait une recrudescence de la violence[98].
De nombreux collèges et écoles furent construits au cours du développement de la ville. Mais Villejuif ne se dotera en revanche d’un lycée que dans les années 1970. En effet, c’est en 1964 que les villes d’Arcueil, Gentilly, Le Kremlin-Bicêtre et Villejuif (regroupant 120 000 personnes) décidèrent de créer un syndicat intercommunal pour la construction d’un lycée. Mais l’arrêté préfectoral d’utilité publique ne fut signé que le . Après de nombreuses manifestations pour accélérer les opérations, Louis Dolly, maire de Villejuif, en pose la première pierre le , et le lycée Darius-Milhaud ouvre ses portes en 1976
Villejuif accueille également plusieurs établissements d’enseignement supérieur, dont plusieurs écoles d’ingénieur.
L’ÉFREI, une école d’ingénieur privée sous contrat, est installée à Villejuif depuis 1987, et y a l’intégralité de ses locaux depuis 2001. Elle dispose d’un campus d’environ 10 000 m à proximité de la station Villejuif – Louis Aragon, ainsi que de places réservées dans des résidences privées à proximité.
L’ÉSIGETEL, auparavant installée à Avon (77), s’est récemment rapprochée de l’EFREI et installée sur son campus. Les deux écoles, complémentaires dans leurs domaines de formation, forment désormais un groupe cohérent.
L’ÉPITA, une autre école d’ingénieur privée, installée au Kremlin-Bicêtre, dispose de locaux à Villejuif, sur un terrain de 13 000 m, où se déroulent une partie des cours. Une partie des cours de l’École pour l’informatique et les nouvelles technologies (EPITECH) se tient également sur ce site, situé rue Guy-Môquet. Une résidence étudiante y a également été installée[101].
L’Institut Sup’Biotech de Paris, autre école d’ingénieurs qui appartient au groupe IONIS, est également installé à Villejuif, sur le même campus.
Les autres hôpitaux de Villejuif disposent aussi d’offres de formation supérieures. Ainsi, les hôpitaux Paul-Guiraud et Paul-Brousse disposent d’Institut de formation en soins infirmiers. Ils participent également tous deux à la formation des praticiens dans diverses sujets (laboratoires, accueil de stagiaires…). Paul-Brousse fait également partie d’un groupement hospitalier universitaire,.
Enfin, un centre de formation d’apprentis spécialisé dans les métiers de la propreté se trouve également à Villejuif, au niveau de la station Villejuif – Paul Vaillant-Couturier. Il propose diverses formations et diplômes (CAP, BEP, baccalauréat professionnel, BTS…).
Villejuif est une ville hospitalière, avec trois centres hospitaliers qui couvrent 10 % du territoire de la commune (soit une cinquantaine d’hectares), ainsi que plusieurs unités de recherche de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) et du Centre national de la recherche scientifique (CNRS).
La ville fait partie de la vallée scientifique de la Bièvre, qui regroupe 13 villes, 2 conseils généraux et 2 communautés d’agglomération.
Un projet de création d’un campus de cancérologie (Cancer Campus) autour de l’institut Gustave-Roussy est en cours. Il amènera notamment à la création d’une pépinière dédiée aux biotechnologies aux Barmonts, à proximité de la station Villejuif – Léo Lagrange et de résidences pour les étudiants et les chercheurs.
La mairie de Villejuif a également créé plusieurs structures de santé de proximité : le centre municipal de santé (CMS) Paul-Rouquès, le centre dentaire Danielle-Casanova, le service d’accueil médical initial (consultation destinée à désengorger les urgences) et un centre médico-psycho-pédagogique.
Villejuif dispose de plusieurs équipements sportifs et d’un grand nombre de clubs.
Au nombre de ces équipements sportifs, on trouve deux stades (Gabriel-Thibault et Louis-Dolly), trois complexes sportifs (Guy-Boniface, Maurice-Baquet, et Karl-Marx), 4 gymnases et plusieurs autres salles (boxe, tennis, tir à l’arc…). Le stade nautique Youri-Gagarine, construit en 1969 puis modifié en 2010, dispose d’un bassin olympique extérieur, d’un bassin de 25 mètres et d’un petit bassin, d’une pataugeoire, d’un espace fitness-musculation, et d’un système de chauffage par géothermie[110].
L’union sportive de Villejuif (US Villejuif) regroupe la majorité des clubs de la ville, et leur fournit une aide et une coordination, notamment pour les déplacements.
Les équipes masculines et féminines de rink hockey de l’USV Roller évoluent en première division nationale,. L’équipe masculine de l’USV Volley évolue, elle, en nationale 2. L’USV couvre de nombreux autres sports collectifs (rugby, handball, football, basket-ball…) et individuels (boxe, escrime, gymnastique…).
Plusieurs autres clubs existent également à Villejuif, dont l’ASFI Athlétisme, ou encore le club de futsal des Hautes-Bruyères.
Chaque année, la ville organise la corrida des Hautes-Bruyères, un événement sportif qui comporte plusieurs courses dont l’épreuve des 10 kilomètres, compétition reconnue par la Fédération française d’athlétisme. La corrida clôture les Jours de paix et accueille des délégations des villes jumelées.
La fin du Comte de Monte Cristo d’Alexandre Dumas se déroule à Villejuif. « On était au haut de la montée de Villejuif, sur le plateau d’où Paris, comme une sombre mer, agite ses millions de lumières qui paraissent des flots phosphorescents ; flots en effet, flots plus bruyants, plus passionnés, plus mobiles, plus furieux, plus avides que ceux de l’Océan irrité, flots qui ne connaissent pas le calme comme ceux de la vaste mer, flots qui se heurtent toujours, écument toujours, engloutissent toujours ! »
Serge Reggiani interpréta la chanson Villejuif en 1973 (paroles de Sylvain Lebel).
La commune compte trois paroisses : Sainte-Thérèse au nord, Saint-Cyr-Sainte-Julitte au centre (avec un second clocher : Notre-Dame-des-Apôtres) et Sainte-Colombe au sud.
La communauté copte orthodoxe dispose d’un lieu de culte : l’église Archange-Michel-et-Saint Georges.
La ville dispose de deux lieux de sépultures:
Le revenu net imposable moyen par foyer fiscal à Villejuif était, en 2005, de 16 161 € par an, en dessous de la moyenne nationale et très en dessous des moyennes départementale et régionale. C’est la deuxième moyenne la plus basse de la communauté d’agglomération du Val de Bièvre, devant Gentilly (15 463 €). Cette tendance se retrouve dans la part de foyers imposables, l’impôt moyen et, à l’inverse, dans la part des salaires dans les revenus,,,.
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 28 986 €, ce qui plaçait Villejuif au 15 890 rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[121].
Villejuif comptait 17 652 personnes travaillant sur son territoire en 1999, un chiffre quasiment identique à celui de 1990, alors que le département et la région enregistrent une légère baisse. Très majoritairement dans le secteur tertiaire (85,5 %), la proportion des employés et professions intermédiaires y est nettement plus élevée que la moyenne départementale ou régionale, tandis que la moyenne d’ouvriers et de chefs d’entreprises y est nettement plus basse.
Le taux d’activité à Villejuif est de 86,4 %, très légèrement inférieur à la moyenne nationale (86,9 %) mais nettement inférieure à celle de l’Île-de-France (88,2 %). Le taux d’activité des 15-24 ans, notamment, est nettement inférieur aux moyennes du Val-de-Marne et d’Île-de-France.
Villejuif compte 2 067 chômeurs, dont 629 de longue durée. La tranche des 25-49 ans y est constitue environ 73 % des demandeurs d’emploi (70 % au niveau du département), tandis que celle des plus de 50 ans représente 14 % (17 % au niveau du département).
La ville compte une part plus importante de fonctionnaires que la moyenne nationale (24 contre 16 %), en grande partie liée à la présence de trois hôpitaux sur le territoire. Près des trois quarts (73,8 %) de la population ne travaillent pas à Villejuif, et plus de la moitié hors du département. En conséquence, seuls 10 % des actifs se rendent à pied à leur lieu de travail, contre 37 % utilisant leur voiture et 37 % les transports en commun.
À Villejuif, chercheurs et laboratoires pharmaceutiques travailleront autour de l’Institut Gustave-Roussy, spécialisé dans le cancer.
Malgré le fait que Villejuif est une ville dont de nombreuses rues ont été tracées récemment, au fur et à mesure du développement des constructions au détriment des terres agricoles, beaucoup d’entre elles ont été rebaptisées, souvent pour rendre hommage à des personnalités locales ou non – souvent en lien avec l’histoire communiste de la ville, mais pas seulement. Ont ainsi été perdus dans la topographie locale de nombreux lieux-dits qui ne subsistaient que dans les noms de rue (Monsivry, les Sorrières, Gournay, etc.)
Villejuif compte de nombreux bâtiments et édifices qui constituent son patrimoine, dont certains sont inscrits comme monument historique, et un est classé.
Les monuments inscrits sont :
De nombreux autres bâtiments constituent le patrimoine de la ville, que ce soit dans son centre historique largement conservé (rues Jean-Jaurès, Georges-Le-Bigot et René-Hamon) ou dans les constructions plus récentes.
On peut notamment citer :
De nombreux bâtiments ont été réalisés à Villejuif par Paul Chemetov, notamment le stade nautique, la médiathèque, le théâtre, le groupe scolaire Pasteur et des immeubles de logements tels que sentier Benoît-Malon ou place de la Fontaine.
Enfin, plusieurs bâtiments historiques construits à Villejuif ont aujourd’hui disparu, dont :
Villejuif abrite plusieurs parcs, jardins et squares pour une surface totale de plus d’une trentaine d’hectares.
La ville compte également plusieurs parcs municipaux :
Une coulée verte est également en cours d’aménagement. Reliant la vallée de la Bièvre et le parc départemental des Lilas, elle devrait traverser le parc du 8-Mai-1945, le parc des Hautes-Bruyères, la ZAC de l’Épi d’or et la cité Robert-Lebon. De nombreux autres espaces (squares, jardins…) existent également : promenade des Sapeurs-Pompiers (nord), square des Guipons (nord-est, 1 200 m2), square du Clos-Fleuri (sud-est), square Rouquès (sud), square de la Charmoie (centre)…
Un sentier de randonnée pédestre (10 km), élaboré en 1994 par des élèves du collège Pasteur en collaboration avec la ville et le conseil général, permet de découvrir la ville et ses espaces verts.
Villejuif est une ville fleurie, avec une fleur au concours des villes et villages fleuris.
L’explosion démographique due au baby boom des années 1940 – 1950 a marqué le développement des équipements et politiques culturelles.
La création de la Maison du peuple Gaston Monmousseau en 1962 (dans les locaux de l’actuelle Bourse du travail) permettra aux nombreuses structures culturelles naissantes, jusqu’ici hébergées dans les bureaux de la mairie, de disposer de locaux.
Ainsi, la bibliothèque municipale y emménage dans une salle de 60 m. Le cours de chant, créé en 1956 et qui partageait jusque-là la salle de la bibliothèque, la rejoint et devient une école de musique et de chant, avant de devenir conservatoire en 1965. Le cours de danse devient également une école de danse, avec un cours de danse classique et de danse rythmique.
C’est également en 1962 que débute la construction du théâtre Romain-Rolland, au-dessus du marché couvert (900 m au sol). Elle permet d’héberger la troupe de l’Églantine, qui joue jusqu’ici dans la salle des fêtes.
C’est en 1962 qu’est lancée la première Maison des jeunes et de la culture, rue Youri-Gagarine (l’actuelle Maison pour tous Gérard-Philipe) et d’une autre rue Pasteur (l’actuelle MPT Jules-Vallès). Elles seront inaugurées respectivement en 1970 et 1972.
En 2006 est inaugurée, face à la mairie, la médiathèque Elsa-Triolet.
Plusieurs personnalités politiques connues au plan national ont exercé des responsabilités à Villejuif :
De nombreux scientifiques ont également eu un rôle important à Villejuif, dont Gustave Roussy, qui a créé la première consultation de cancérologie au sein de l’hôpital Paul-Brousse, en 1925.
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Des fois, on peut oublier de maintenir de façon régulière la toiture du logement. Pourtant, ceci est en effet absolument nécessaire. Notez bien qu’à n’importe
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Faire l’entretien de sa toiture d’appartement conduit à vous protéger des mauvais temps, mais également de préserver la beauté de votre maison. En principe, un toit en bon état est gage de sérieux pour le bien être de son foyer. Les paramètres qu’il faut contrôler régulièrement à Villejuif sont l’étanchéité et le vieillissement de la charpente. Pour vous assurer de l’excellent état de votre toit, dépolluez le revêtement du toit en engageant un agent couvreur qualifié pour ôter les polluants et les sédiments qui provoquent sa détérioration. De même, il est important d’examiner l’emboîtement et le graissage de l’engrainage des volets de toiture. L’examen de la pose des ardoises ou tuiles sur la toiture est aussi un point qui mérite une attention particulière, notamment à la suite d’intempéries. L’ossature de la charpente ne doit pas être sujette aux écoulements et un examen de la présence d’espèces xylophages (capricornes, termites) devrait être effectué principalement par un charpentier. Profitez des services de rénovation de votre couverture pour projeter une nouvelle isolation convenable et se sentir bien à l’aise, en période estivale comme en période hivernale.
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